Une belle-mère dominatrice, 3ème partie, par escribe1@live.fr traduction de "Stepmom: Chapter 3" de The Timid Freshman ========================================== = 3ème partie = = Dana passe une étape supplémentaire = = dans l'asservissement de son beau-fils = ========================================== Dana était debout dans l'entrée de la cuisine, appuyée nonchalamment contre le mur. Son regard inquisiteur surveillait le moindre des mouvements de Joël pendant qu'il nettoyait la pièce. Son beau-fils tremblait constamment, et il faillit à plusieurs reprises faire tomber un verre. Son coeur s'emballait à chaque fois qu'il frôlait un tel désastre : il n'avait aucune envie d'en connaître plus sur les méthodes disciplinaires de Dana. Elle le terrifiait totalement à présent, et pourtant il était plus que jamais attiré par elle. En l'espace d'une seule journée, elle avait réussi à le dominer à un tel point que la simple idée de lui désobéir semblait devenir pour Joël une idée de plus en plus incongrue. La méthode élémentaire utilisée par Dana, basée sur l'alternance de punitions et de récompenses était la parfaite application du principe de la carotte et du bâton : la crainte d'une punition, sous la forme d'une torture douloureuse de ses testicules ou bien d'une sévère fessée, rendait Joël incapable d'enfreindre la moindre des règles imposées par Dana. Inversement, les caresses qu'elle lui avait prodiguées quelques minutes auparavant lui avait totalement vidé l'esprit, et ce souvenir l'incitait à faire de son mieux pour la servir, dans l'espoir qu'elle lui permette plus tard d'avoir un autre orgasme. En fait la satisfaction de ses besoins sexuels était primordiale pour lui (comme pour tout garçon de son âge) et à partir du moment où elle lui avait interdit toute forme de masturbation, il était maintenant totalement dépendant d'elle sur ce point. Il avait bien trop peur de la punition qu'elle lui réservait en cas de masturbation pour oser même y penser. Il avait le sentiment que si Dana l'attrapait en train de se toucher à nouveau, elle lui infligerait certainement une punition autrement plus redoutable que ce qu'il avait subi ce matin durant leur première confrontation. Non, elle ne s'arrêterait certainement pas là, et Joël était sûr qu'elle trouverait alors un moyen physique de s'assurer qu'il ne pourrait plus se livrer à ses plaisirs solitaires pendant un bon moment. Et il ne voulait pas découvrir quel serait ce moyen, quel qu'il soit. Il ne voulait surtout pas tenter cette expérience. Il s'inquiétait au sujet de la tentation à laquelle il ne manquerait pas d'être soumis. Même à cet instant le souvenir du plaisir procuré par les mains de Dana envahissait son esprit, et il repensait sans cesse à cette scène ; la sensation du bout des doigts de sa belle-mère caressant son pénis, la montée du plaisir quand elle commença à serrer un peu plus fort son sexe et se mit à le malaxer, et finalement son orgasme libérateur quand elle eut fini par l'amener à l'inéluctable éjaculation. Il n'avait aucune idée du temps qu'il devrait attendre avant de ressentir à nouveau ces mêmes sensations, et tout ce qu'il devrait faire pour elle afin de le mériter. Mais pendant tout ce temps, comment allait-il vraiment pouvoir s'empêcher de se toucher ? Cependant, comme il allait le constater, Dana avait pensé à tout. Quand Joël eut terminé de nettoyer la cuisine, Dana lui ordonna de revenir dans le salon. "Voilà ce que je veux que tu fasses, Joël," dit-elle d'un ton autoritaire. "Tu vas prendre une douche. Je veux que tu sois parfaitement propre. Et ne pense même pas à te branler une fois là-bas." Elle attendit sa réponse. "Oui Madame," réussit finalement à couiner Joël. Il pria pour qu'elle n'ait pas le pouvoir de lire dans son esprit. Il ne savait pas comment se débarrasser de toutes ces pensées terriblement érotiques et en même temps effrayantes qu'il associait maintenant systématiquement à sa belle-mère. "Quand tu auras fini de te laver," continua-t-elle, "je veux que tu t'essuies complètement et que tu viennes te présenter devant moi tout de suite après. Ne te rhabille pas. Tu te présenteras devant moi totalement nu, tu as compris ?" "Ou-Oui, Madame," bégaya-t-il. "Et tu as intérêt à ce que ta queue soit au repos," ajouta-t-elle avec un sourire mauvais, "ou bien je trouverai un moyen pour te la calmer. Et il vaudrait mieux pour toi que je n'ai pas à le faire." Elle éclata d'un rire cruel. Joël tourna les talons, et Dana en profita pour lui donner une claque sur les fesses. Terrorisé, il décampa vers la salle de bains, pendant qu'elle continuait à rire devant son attitude soumise. La peur que lui inspirait sa belle-mère lui coupa toute envie de toucher à son pénis dressé sous la douche, et il passa quelques instants terribles à essayer de calmer son excitation. Il commença à paniquer. Dana ne tolérerait certainement pas qu'il reste trop longtemps dans la salle de bains. Elle viendrait le chercher au bout d'un moment, et il n'avait vraiment pas envie de connaître sa méthode pour remettre son sexe au repos. Prenant une profonde inspiration, il ferma l'arrivée d'eau chaude, et ouvrit l'eau froide au maximum. Haletant sous l'effet de l'eau glacée dirigée contre ses jambes, il espérait qu'en subissant ce traitement assez longtemps, cela allait lui enlever toute vélléité d'érection pour un bon moment. En effet, ses testicules se rétractèrent instinctivement, au fur et à mesure que son pénis se mettait à rétrécir rapidement. Quand son sexe fut devenu totalement flasque, Joël sauta hors de la douche et s'essuya aussi vite que possible. Tremblant tout à la fois de peur et de froid, il prit une profonde inspiration et se précipita pour retourner dans le salon, espérant que son père ne le verrait pas passer ainsi comme une flèche à travers le couloir. Il arriva dans la pièce encore tremblant, et Dana sourit en le voyant debout devant elle, le corps totalement exposé à son regard. Dana était allongée paresseusement sur le canapé. Elle avait enlevé ses bas noirs ainsi que son corset pour remettre une tenue plus simple, un pantalon de cuir noir, complété par un soutien-gorge assorti. "Bien, bien," dit-elle avec une pointe d'amusement, confortablement installée dans son canapé. "Il ne te reste pas grand chose entre les jambes quand tu n'es pas excité, tu ne trouves pas Joël ?" La honte que ressentit Joël lui fit monter le sang au visage, et il devint écarlate devant ces commentaires humiliants de sa belle-mère. Mais Dana n'en avait pas fini avec lui. Elle se leva, et s'approcha de lui d'une démarche assurée, balançant ses hanches gainées de cuir. "Je t'ai posé une question, Joël," dit-elle, "et j'attends une réponse. Je t'ai dit que tu avais un petit pénis, qu'est-ce que tu en penses ?" Joël fixa le sol devant lui. Même si son sexe était ratatiné à une taille plus petite que d'habitude à la suite de la douche glacée, Dana était en train de mettre le doigt sur un complexe qu'il traînait depuis le début de sa puberté. "Je t'ai demandé ton avis, est-ce que tu as un petit pénis ?" continua-t-elle en haussant le ton, saisissant ses testicules et commençant à les serrer. "Oui Madame," soupira-t-il, atterré par l'efficacité des humiliations qu'elle était capable de lui infliger. "Mais ne t'inquiète pas, cela conviendra très bien, Joël," dit-elle avec un ton plus doux, tout en libérant ses testicules. "Il a la bonne taille quand il est en action, et c'est ça qui compte, n'est-ce pas ?" "Oui Madame," répondit-il, les yeux toujours fixé au sol. Il se sentait mieux maintenant, et même reconnaissant envers elle pour cette dernière remarque presque élogieuse. Dana était experte dans l'art de la domination et de la manipulation, à la fois mentales et physiques. "Regarde-moi dans les yeux quand tu t'adresses à moi," dit-elle d'un ton sec. Joël leva ses yeux vers ceux de sa belle-mère. "Oui Madame," répéta-t-il. Elle sourit. "C'est bien mon garçon," conclut-elle. Elle retourna vers le canapé et prit un sac à terre que Joël n'avait pas remarqué jusque là. "J'ai une bonne nouvelle pour toi," dit-elle d'un ton enjoué. "Je vais te protéger contre toute tentation." Elle le regarda à nouveau. "Je sais bien que tu n'es pas assez fort pour empêcher tes sales petites mains de venir se balader autour de ta sale petite queue," railla-t-elle. "Et je sais que tu ne voudrais pas que je te punisse pour ça, n'est-ce pas Joël ?" "Non Madame," répondit-il, de plus en plus inquiet. "Bien," dit-elle, "comme je suis une bonne belle-mère, je vais donc t'aider." En disant cela, elle sortit du sac un appareil à l'allure étrange. Il était constitué de deux parties en matière plastique transparente : la première était une sorte de menotte, comme un collier ouvert, et la seconde ressemblait à un petit tuyau courbé, ouvert d'un côté et fermé de l'autre, et percé de petits trous sur toute sa longueur. Des petites goupilles étaient visibles sur ces deux pièces de plastique. En plus de ces deux dispositifs, il y avait également une sorte de petit mécanisme de verrouillage, qui semblait destiné à attacher les deux pièces en plastique ensemble à l'aide des goupilles. Joël n'avait jamais vu une telle chose auparavant, et il n'avait aucune idée de l'utilité que cela pouvait avoir. Pour le moment, sa curiosité était devenue plus forte que sa peur. Tout cela lui faisait penser à une sorte de robinet. Il fronça les sourcils, intrigué. Comment un robinet allait-il pouvoir le protéger contre la tentation ? Mais il allait bien vite découvrir que ce n'était pas un robinet... Dana ne perdit pas de temps à lui expliquer la vraie fonction de l'objet. En un instant elle revint auprès de Joël, et fixa le collier en le refermant autour de la base de son pénis, en-dessous de ses testicules. Ensuite elle prit l'étui courbé et l'enfila d'une main experte sur le pénis flasque de Joël. Ce dernier prit alors conscience du vrai but de l'appareil, trop tard pour réagir. Avant qu'il ne réalise ce qui était en train de lui arriver, Dana avait fermement attaché ensemble l'étui avec le collier, à l'aide du cadenas et des goupilles prévues à cet effet. Alors qu'elle reculait pour admirer son ouvrage, les yeux de Joël s'écarquillèrent d'horreur en baissant les yeux, découvrant tout d'un coup le spectacle de son pénis emprisonné. La gaine étroite englobait totalement son sexe au repos, et il serait impossible d'avoir une érection tant que l'appareil resterait en place... Et le collier derrière ses testicules rendait le dispositif impossible à retirer ! Le seul moyen de l'enlever était d'ouvrir le cadenas. "Oh, non," soupira-t-il, horrifié. "Oh, si," ricana Dana d'un air triomphal. "Tu as la chance de profiter du dernier cri de la technologie dans le domaine des ceintures de chasteté, Joël. La bosse qu'elle fera sous ton pantalon sera très discrète. Ces derniers modèles sont bien plus compacts qu'avant. Ca te laissera une totale liberté de mouvement," puis elle ajouta en éclatant de rire : "bien sûr, à part pour ta queue !" "S'il vous plaît, ne me forcez pas à porter ça," supplia-t-il, au bord des larmes. "S'il vous plaît, enlevez ça." "Oh non, il n'en est pas question," répondit-elle avec un sourire mauvais, savourant visiblement la détresse de Joël. "Tu vois, le seul moyen d'être sûre que tu n'ailles pas te planquer pour essayer de te masturber en douce est d'avoir le total contrôle de ton pénis." Elle glissa une main entre ses seins et en sortit une clé minuscule, attachée à une fine chaîne qu'elle portait autour du cou, que Joël n'avait pas remarquée jusque là. "Ne t'inquiète pas," ajouta-t- elle toujours en souriant, "tu n'es pas le seul dans ton cas. J'en fait porter une à ton père également." Cette nouvelle n'apporta pas le moindre réconfort à Joël. "Mais comment vais-je faire pour me laver ?" protesta-t-il. Dana haussa les épaules. "Il n'y a rien qui t'empêche de laver le reste de ton corps," dit-elle simplement. "Tu peux même les laver," ajouta-t-elle en malaxant ses testicules avec le bout de ses doigts. "La CB-6000 est résistante à l'eau, et les petits trous d'aération te permettront même de nettoyer ta précieuse petite queue." Elle posa ses mains sur les hanches : "je pense qu'une fois par semaine suffira pour un nettoyage plus complet, n'est-ce pas ?" Que pouvait-il dire ? Il n'y avait qu'une réponse qu'il était autorisé à lui faire. "Oui Madame," répondit-il à contre coeur, la voix tremblante. "Je suis la seule à pouvoir ouvrir ta ceinture," continua-t-elle. "N'essaye pas de la casser, tout ce que tu obtiendrais serait de te faire mal." Elle sourit. "Et ensuite c'est moi qui te ferait mal pour te punir, donc ce n'est vraiment pas la peine de tenter le coup. Une fois par semaine je te l'enlèverai pour un nettoyage complet, sous ma surveillance. On prendra une douche ensemble tous les vendredi soirs." Le coeur de Joël s'accéléra en entendant ces mots, et son pénis fit une première tentative pour se redresser, sans résultat dans sa cage étroite. Dana se rapprocha, posant la main sur la poitrine de Joël. "Maintenant, si tu es un brave garçon," susurra-t-elle, son visage contre celui de Joël, le regard intense, "alors je te libérerai une ou deux fois supplémentaires par semaine. Mais seulement," prévint-elle en levant un doigt, "si tu as bien fait toutes tes tâches ménagères et tes corvées. Compris ?" "Oui Madame," dit-il, totalement dompté. La domination de Dana était totale. Joël était devenu son esclave soumis, entièrement sous son contrôle. Et dire qu'il avait encore deux longues années d'études à son université avant d'obtenir son diplôme... Avec cette déesse dominatrice comme belle-mère, cela promettait d'être les deux années les plus excitantes de sa vie ! A suivre...