Le rodéo. by lapie Trois filles vengent tous les méfaits d'un macho.   Elles étaient trois. Trois filles toujours ensemble. Elles s'étaient connues dans un club de sport. L'une faisait du judo (ceinture noire, please...), l'autre du kick-boxing, elle avait été championne régionale ou quelque chose comme ça, la troisième faisait simplement de la musculation. Elles avaient tout de suite sympathisé sous la douche... Il faut dire qu'elles étaient assez bien foutues, musclées mais bien équilibrées, et surtout toujours relax, cool. Elles se rencontraient au minimum une fois par semaine à la salle de sport. Elles prolongeaient la soirée dans un petit troquet où on les reconnaissait à leur rire étincelant, et il leur était même arrivé de finir dans le même lit, pour s'accorder des petits plaisirs mutuels sans conséquences. Lui était seul. Il avait eu une femme, qui l'avait quitté quand elle avait découvert sa liaison. Du coup, Fred avait gardé sa maitresse, mais en guise de maitresse simplement, c'est-à-dire bonne à baiser quand il en avait envie, mais surtout pas pour s'emmerder à vivre ensemble, avec tout ce que cela comporte. Il était déjà 21 heures, et il venait de fermer son bureau. Plutôt crevé, il se demandait s'il rentrait tout de suite, ou s'il passait chez sa maitresse pour tirer un coup et passer la nuit, ou s'il allait carrément dans un cabaret essayer de se lever une go-go girl, en se bourrant la gueule pour tout oublier... Adeline avait prévenu ses 2 comparses. "Ce soir, grand rodéo !" Chacune d'entre elles savait exactement ce que cela voulait dire, et chacune se prépara en conséquence. Adeline, la judoka, avait simplement mis un débardeur très court, qui découvrait son nombril, sans rien dessous, ce qui faisait ressortir la majesté de ses seins et surtout l'importance de ses mamelons toujours en érection, ainsi qu'un mini short en jean qu'elle avait coupé elle-même en y faisant des franges qui lui caressaient délicatement les cuisses. Béa, la boxeuse, préférait se mettre à l'aise, comme elle disait, c'est-à-dire en survêtement et baskets, comme si elle allait à l'entrainement. Clara, elle, savait mettre en valeur ses formes et ses muscles. Elle avait un simple body sans manches, une mini-jupe portefeuille, et des cuissardes de cuir terminées par des talons hauts et fins à faire frémir le premier fétichiste venu... Béa, qui conduisait, passa prendre ses deux compagnes, mis la musique techno à fond la caisse, et demanda à Adeline de lui indiquer le chemin à suivre... Fred avait pris sa décision dans l'ascenceur : il irait boire et "chasser la femelle" comme il se le disait intérieurement. Du coup, le moral était revenu, il ne se sentait plus trop fatigué, et il sifflotait dans le parking souterrain de l'entreprise qui l'employait. En passant le long d'une voiture, il entendit un petit bruit derrière lui, se retourna et "blammmmm"... Il crût avoir pris un camion dans le bas-ventre.. Mais non, ce n'était qu'une fille en survêtement qui venait de lui envoyer un coup de pied dans les couilles. Il s'écroula sur le sol, aussi surpris qu'endolori, et voulut protester... "Mais, qu'est-ce qui vous prend ? Vous êtes folle ou quoi ???". C'est alors qu'une autre nana, qu'il n'avait pas vu arriver, lui saisit les bras en arrière et lui fit une prise qui l'immobilisait complètement. Il n'y avait manisfestement pas à discuter. Il essaya pourtant :"Si c'est du fric que vous voulez, prenez-le, prenez ma carte bancaire, faites ce que vous voulez, mais arrêtez de me broyer les articulations". Pour toute réponse, il reçut une claque de la troisième fille apparue. Pour lui, c'était plutôt une apparition, car Clara était vraiment splendide. Mais le problème était qu'elle ne souriait pas vraiment... Au contraire, elle sortit de son sac un couteau à cran d'arrêt et l'approcha du cou de Fred. Il crût vraiment qu'elle allait le piquer. Mais non, c'était juste pour lui faire peur... Elle commença ensuite à descendre avec son couteau le long du corps, découpant en lanière son costume trois-pièces qui avait couté si cher, puis sa chemise, puis sa ceinture, laissant tomber ainsi le pantalon. Quand elle arriva au slip, Béa demanda en rigolant :"Je prends les paris... Quelle note pensez-vous que son joujou mérite ??? Moi, vu la forme, je donne 5, pas plus". Adeline, qui était derrière Fred, passa une main devant et malaxa son sexe à travers le tissu. "Moi, je ne lui mets que 3, c'est vraiment tout petit ce truc-là." Clara ne prit pas le temps d'annoncer son pari, elle tailla vivement dans le tissu, si vivement que Fred pensa un moment qu'elle lui enlevait un morceau de chair. Mais non, ce n'était que l'illusion du geste. Les trois filles éclatèrent de rire. C'était peut-être le stress, mais en tous les cas, le sexe de Fred paraissait vraiment minable, tout rabougri, tout fripé. Et les couilles apparaissaient difficilement sous cette petite langue de chair, comme si elles voulaient rentrer dans le corps et y disparaitre. Béa prit la veste et sortit le portefeuille, puis la carte d'identité :"Pas d'erreur, c'est bien lui... Allons-y". Adeline le poussa vers un porte intérieure du parking qui donnait dans le local à poubelle. En entrant là, Fred se remémora la super-pipe qu'il avait exigé de la femme de ménage portugaise il y a quelques semaines. Il l'avait menacée de la faire virer pour obtenir sa petite gâterie. Comment s'appelait-elle déjà ? "Tu te souviens de Lucia ?" C'était Béa qui parlait. Oui, c'est ça, Lucia, le nom lui revenait. Mais comment cette fille pouvait-elle connaître ce prénom ? Entretemps, les filles l'avaient obligé à se coucher sur le dos. Adeline lui fixait les bras à un conteneur à ordures, pendant que Béa lui maintenait les jambes écartées, le sexe offert, ou plutôt exposé... ce qui le fit frémir. Clara s'approcha et se mit debout au-dessus de lui, une jambe de chaque côté de son corps nu. Elle retira sa minijupe d'un geste vif, puis s'accroupit en approchant son entrejambe de son visage. Il la regarda, apeuré. Elle avait l'oeil vraiment mauvais et tenait toujours son cran d'arrêt en main. Elle approcha encore son sexe toujours couvert de la bouche de Fred et lui dit :"Ouvre-moi ce body". Il refusa d'abord, mais le couteau sur la carotide, il avança les lèvres. N'arrivant pas à décoller le fin barrage de tissu, il se résolut à utiliser ses dents et il fit sauter un à un les trois boutons de l'entrejambe qui le maintenaient fermé. Le sexe de Clara, totalement épilé, lui apparut. "Lèche, maintenant !". Il tenta de détourner la tête, mais Adeline lui prit les cheveux pour le forcer à approcher sa bouche. Il n'avait jamais aimé faire cela... alors que lui-même exigeait cette caresse de toutes les filles avec lesquelles il couchait. "Tu as bien forcé Lucia à te sucer, espèce de porc !" lui sussura Clara. "Lèche !" Il tendit la langue et commença à lécher. Clara mouillait déjà fort, toute excitée par la situation. Le goût acre de la mouille le fit grimacer, mais sous la contrainte, il continua en s'appliquant. Après quelques minutes Clara se mit à haleter. Il prit alors la décision de faire ça le mieux possible. Il décapuchonna la clitoris rouge et complètement engorgé, et le téta comme un nourrisson. Très vite, Clara gémit et très vite, elle jouit en frottant sa chatte sur le nez et la bouche de Fred qui suffoquait. Au moment de son orgasme, le sexe de la fille émit un jet important de cyprine, comme si elle éjaculait, et Fred en prit plein le visage. Les deux autres filles en avaient la gorge sèche. Quel spectacle ! Adeline vint alors remplacer Clara, en s'asseyant sur le ventre de Fred, toujours tournée vers son visage. Il s'attendait déjà à devoir lui rendre le même hommage, mais ce n'était plus d'actualité. Adeline souleva son mini-débardeur, lui montrant ainsi ses seins bien suspendus, et complètement excités. "Combien de fois as-tu malaxé, pincé, torturé les seins de Justine ?" lui demanda-t-elle. Encore un prénom qu'elles connaissaient. Effectivement, il se souvenait vaguement de cette fille de salle au restaurant d'entreprise. Chaque fois qu'il la coinçait aux toilettes, il avait pris l'habitude de se branler entre ses seins, en les torturant pour qu'elle gémisse de douleur. Quand il vit Adeline sortir de la poche de son jean une épingle à nourrice, il blémit. D'autant plus que c'était une de ces épingles énormes qui servent à attacher les kilts écossais. Sans hésiter, d'une main, elle lui pinça le sein droit, pour bien faire ressortir le mamelon et l'aréole, puis de l'autre, elle approcha l'épingle ouverte. L'oeil dur, la main ferme, elle fit pénétrer la pointe dans la chair du téton. Il hurla à la mort, mais son cri ne sortit pas du local à poubelles. Quand la pointe fut ressortie de l'autre côté du téton, elle ferma tout tranquillement l'épingle de sûreté comme si elle avait fixé sa jupe. Fred était tétanisé, il avait de la peine à reprendre sa respiration. Il n'eut pas le temps de se poser des questions. Béa avait maintenant remplacé Adeline et s'affarait à faire subir le même sort à son sein gauche. Elle y alla encore plus doucement, pour bien prendre le temps d'observer ses réactions. Quand la pointe de l'aiguille ressortit de la chair ensanglantée, Fred s'évanouit sous le choc de la douleur. Les filles en profitèrent pour le détacher, puis le transporter, toujours nu, dans le parking. Arrivées à leur voiture, elles le posèrent sur le capot, sur le dos, mais à l'envers, c'est-à-dire les jambes vers le pare-brise, et la tête sur la calandre. Elles fixèrent ses chevilles aux rétroviseurs extérieurs, et ses poignets aux deux extrémités du pare-chocs. Deux filets de sang sortaient de ses seins, se dirigeant vers son cou où ils formaient comme une sorte de petit lac avant de se séparer et de s'écouler de chaque côté de sa tête. Le démarrage du moteur réveilla Fred, qui ne comprit pas tout de suite dans quelle position il était. Mais quand Béa se mit à rouler, d'abord doucement pour voir si les liens tenaient bien, puis beaucoup plus vite, il crût qu'il allait mourir de peur. La conductrice se mit à faire un véritable rodéo dans le parking souterrain, frôlant les véhicules en stationnement, freinant au dernier moment face au mur. Fred voyait déjà son crâne écrasé entre le mur et la calandre. Il hurlait de terreur ! Les trois filles s'amusaient beaucoup dans la voiture et les passagères encourageaient la conductrice à faire de plus en plus fort. Après un bon quart d'heure de ce traitement, Fred vomit toutes ses tripes sur le sol. Béa s'arrêta alors. Clara sortit de la voiture avec une ficelle et dit à ses copines :"J'en ai marre de voir ce sexe se balader à droite et à gauche comme une marionnette !" Elle fixa alors solidement la corde autour des couilles de Fred, puis montant sur le capot, attacha l'autre extrémité à l'antenne de toit. "Comme ça, si jamais, les jambes se détachent, il pourra toujours se retenir par les couilles !!" Ce mot d'humour fit s'exclaffer les trois filles. La voiture sortit alors du parking avec son passager extérieur. Elle fonça à travers la ville endormie où personne ne remarqua rien. Sur l'autoroute, Fred était tétanisé par la peur et il ne bougeait plus. Adeline, assise à côté de Béa qui conduisait, ouvrit sa fenêtre et sortit le haut de son corps en s'asseyant sur le rebord. Puis elle demanda à Clara :"Passe-moi le fouet que tu as à côté de toi, que je vérifie qu'il est toujours vivant !" Elle se mit alors à fouetter le corps de Fred, qui se mit à tressauter. Ses mouvements étaient très limités par la corde qui lui tirait sur les couilles et qui l'empêchait de se déplacer pour éviter les coups. Voyant qu'il bougeait bien, Clara dit :"Vise la queue !" Adeline prit alors un malin plaisir à viser la queue et les couilles de Fred qui se mirent à gonfler, tant par l'excitation que par les chocs. A chaque fois qu'elle atteignait son but, ses copines hurlaient dans la voiture "Et un, et deux... et trois... zéro !!!!" Après quelques kilomètres, la voiture ralentit et Béa se faufila dans une sorte de terrain vague, éclairé seulement par les lampadaires de la rue adjacente. Avant de le détacher, Adeline baillonna Fred avec des vieux bouts de chiffons qui traînaient par là. Quand il fut debout, il regarda autour de lui. Il y avait diverses installations sur le terrain, qui lui firent penser que ce pouvait être un ancien club canin, ou quelque chose comme ça. Adeline lui attacha les mains dans le dos puis Béa le tira par la corde qui enserrait toujours ses couilles, le dirigeant vers une sorte de palissade de bois, pas très haute. Arrivés là, elle passa la corde dans un trou, Clara, qui n'avait pas refermé son body, le minou toujours à l'air, la récupéra de l'autre côté et tira dessus pour obliger Fred à se coller le ventre contre la paroi. Adeline s'escrima alors à faire passer tout le sexe de Fred de l'autre côté, les couilles d'abord, puis la queue, qui heureusement avait repris une taille normale. Le trou était à une hauteur telle que Fred ne pouvait être ni debout, ni accroupi, il était obligé de se maintenir les jambes à demi-fléchies. Clara fixa alors l'extrémité de la corde autour d'un piquet en la tendant au maximum. Les trois filles se mirent alors de l'autre côté de la palissade, faisant face à Fred, dont seule la partie supérieure (au-dessus de ses seins ensanglantés) dépassait de celle-ci. Adeline prit alors la parole :"Si tu es ici, dans cette position, c'est pour payer pour tous les affronts que tu as fait subir à toutes les femmes qui ont eu le malheur de te rencontrer." C'était donc ça ! Il prit vraiment peur pour sa vie quand il se remémorra toutes les parties de jambes en l'air qu'il avait faites, toutes les exigences qu'il avait eu avec toutes les filles, toutes les humiliations qu'il avait fait subir, toutes les tortures mentales même. Il prit conscience à ce moment-là qu'il n'avait jamais considéré les femmes que comme des trous à foutre, et que tous les moyens étaient toujours assez bon pour obtenir de se faire vider les couilles. Béa alla vers la voiture. Fred ne pouvait pas voir ce qu'elle y faisait. Elle revint devant lui et tendit vers sa bouche une tige de fer. "Lèche, suce, mouille bien, je crois que tu en auras besoin". Il refusa d'abord. "Et pour commencer, souvenons-nous de Fanny". Fanny ! C'était la fille de la concierge de son immeuble qu'il avait pris l'habitude de sodomiser sauvagement, sans rien lui offrir en échange que des menaces de tout raconter à sa mère. Il comprit alors ce qu'il devrait endurer. Il cracha, lécha et bava sur l'extrémité de la tige. Béa fit le tour de la palissade et commença à lui écarter les fesses. Il tenta de se rebeller, mais Clara mit le pied sur la corde qui lui tirait sur les couilles et il abandonna vite toute résistance. Il n'avait jamais accepté qu'on touche à son petit trou. Même une fille qui voulait lui faire plaisir en y mettant le doigt s'était prise une baffe de première. Béa ne prit aucune précaution. Elle approcha l'extrémité de la tige, appuya légèrement pour faire s'écarter les muscles de l'entrée, et enfonça la tige d'un coup au maximum, provoquant un spasme de douleur de Fred qui faillit s'étouffer dans son baillon. La pression instantanée sur sa prostate provoqua l'écoulement d'un filet de sperme par sa queue, sans érection et sans véritable éjaculation. Ce mini jet amusa beaucoup Clara et Adeline. Béa piqua alors la barre de fer dans la terre, ce qui avait pour effet de pousser encore plus le bas-ventre de Fred contre la paroi de bois. "Et maintenant le rituel peut commencer !" annonça Clara. Elle prit dans sa cuissarde une feuille de papier et l'orienta de façon à ce que la lumière de la rue l'éclaire suffisamment pour la lire. Pendant ce temps, Adeline et Béa étaient retournées à la voiture chercher du matériel. Elles s'installèrent toutes les deux face au sexe de Fred qui ressortait par le trou et commencèrent à le manipuler. Il tentait de regarder ce qu'elles faisaient mais n'arrivait pas vraiment à voir. Béa coupa la ficelle qui tendait les couilles. Dans un geste fou, Fred tenta d'en profiter pour extraire son sexe du trou, et le protéger en le ramenant du côté de son corps. Mais Béa, ayant senti le coup, lui écrasa les boules dans sa poigne de boxeuse, et il resta paralysé par la douleur. "Pour éviter qu'il ne recommence, on va le fixer aussi par le haut", décréta Adeline. La hauteur de la paroi était telle que les seins de Fred étaient juste quelques millimètres au-dessus du bord supérieur. Elle prit alors un clou est le passa au travers de l'épingle de sûreté bien ancrée dans le sein droit, avant de le clouer dans le bois à grand coups de marteau. Puis elle fit de même avec l'autre sein. "Comme ça, il ne bougera plus". En effet, chaque mouvement de Fred induisait une tension sur les épingles de nourrice, ce qui provoquait une douleur terrible dans ses mamelons. Pendant ce temps, Béa avait préparé le matériel dont elle avait besoin. Le rituel proprement dit pouvait commencer. Clara se mit à lire, d'une façon théatrale, la liste qui était sur sa feuille de papier : "Justine, Samia, Céline, Anne, Coralie..." Chaque fois qu'un nom était prononcé, Fred sursautait en souffrant le martyre... non pas du souvenir de la fille ou de la femme qu'il avait manipulé ou maltraité, mais parce que Béa, avec l'aide d'Adeline, déclenchait, pour chaque nom, un pistolet à agrafes. C'était un outil de professionnel, les agrafes étaient imposantes et bien longues. Chacune des agrafes traversait la peau en 2 points avant de se ficher dans la profondeur du bois. Et les agrafes commençaient à faire le tour de sa couille gauche, puis de sa couille droite, pendant que les noms de ses victimes s'égrenaient lentement. La tension sur les testicules devenait de plus en plus forte, au fur et à mesure que plus de peau était prise dans les agrafes. Chaque agrafe lui envoyait une décharge de douleur terrible qui provoquait un frémissement de tout son corps, ce qui faisait s'enfoncer encore un peu plus la tige de fer dans le cul et tirait encore plus fort sur les épingles fichées dans ses tétons. Malgré l'air frais, la sueur commençait à sourdre sur son visage. Il était confronté à l'horreur absolue. "Marion, Catherine, Sophie, Sabrina..." Les noms défilaient et les agrafes s'accumulaient. Il n'y eut bientôt plus de place sur la peau du scrotum. Béa décida alors de continuer vers le haut, c'est-à-dire de chaque côté de la queue de Fred, qui gonflait par réflexe dans sa gaine. Quand toute la queue se trouva fixée du bas en haut, la litanie s'arrêta sur le dernier nom de la liste "Christine". Il eut encore la force de comprendre qu'il s'agissait de sa femme. Béa et Adeline changèrent alors d'outil. Béa prit un énorme clou de charpentier et l'appliqua sur le petit bout de prépuce qui restait libre au sommet du sexe. Adeline lui tendit le marteau. Béa prit son élan et frappa. Pour chaque coup, Clara répétait "Christine... Christine..." La violence des coups faisait vibrer toute la structure et imposait des douleurs multiples au corps de Fred qui n'en pouvait déjà plus... Enfin ce clou était au bout. Béa en prit alors un autre, aussi gros, qu'elle appliqua sur son scrotum, exactement entre ses deux couilles. Et elle recommença à frapper, en prenant son élan. Fred eut un instant la vision de ce marteau dans les mains de cette boxeuse et qui risquait à chaque coup de s'écraser sur l'une de ses couilles. Quand ce clou fût presqu'entièrement rentré... ce qui devait arriver arriva... Les deux dernièrs coups, les plus violents, furent pour les deux testicules de Fred. Il n'eut pas le temps de se lamenter pour le second, il était déjà évanoui au moment du premier écrasement. Le lendemain, une vieille dame qui promenait son chien le découvrit, gémissant et pleurant toutes les larmes de son corps. Après le départ des filles, le froid de la nuit l'avait réveillé. Il avait passé son temps à essayer de se maintenir dans la position la moins affreuse possible. Et comme il était à demi accroupi, il avait souffert toute la nuit de crampes dans les jambes, sans jamais avoir un instant de repos, se forçant à rester éveillé afin de ne pas s'empaler complètement sur la barre métallique, afin de ne pas s'arracher les tétons en se laissant aller en arrière, afin de ne pas se déchiqueter complètement ce qui lui restait de sexe. Les secours le découvrirent ainsi, affublé en plus d'une grosse seringue dans la fesse droite, qui maintenait un écriteau sur lequel il était dit :"Vengeance ! signé :les 'Chiennes de garde'".