Nadege 2 Je n'arrive pas à bouger mes bras, ils sont solidement attachés au radiateur. Mes jambes sont maintenues écartées par une barre en métal, je suis assis sur un sol froid. Mes yeux pleurent, je ne peux rien voir. Je ne peux crier, un slip féminin étouffe mes hurlements. Mes testicules ne sont que douleur. Je commence à retrouver mes esprits, mes larmes s'estompent. Si seulement je pouvais palper mes testicules. Je reprends mon souffle. Je suis nu, attaché dans ma cuisine, seul. Je force mes liens, sans succès. Nadège m'avait promis une nuit pleine de surprise. Je suis KO, fini, si Nadège exige quoi que ce soit j'accepte, je ne peux rivaliser avec cette garce qui fête ses 18 ans dans quinze jours. Mes pensées errent, je suis sur que Nadège a prémédité son coup, mais Daphné est-elle au courant ? Bien sur elle m'a mis en garde, bien sur elle est l'amie de Nadège. Mais au fait j'y pense, ces regards insistants, ses regards qui en disent long, elles ne se quittent quasiment plus depuis six mois, suis-je bête ! Ma fille est amoureuse de son amie ! Mais alors, non je ne comprends plus rien, ma tête me fait mal, mes testicules me font mal, j'ai envie de vomir ! Pourquoi Nadège me fait-elle cela ? J'ai si mal et cette gamine qui joue avec mon sexe, avec mes testicules ! Comme si je lui appartenais, comme si elle pouvait m'humilier sans raison. Bien sur, elle joue et je ne suis pas à la hauteur de ce jeu ! Comment le serais-je ? Elle s'amuse de la souffrance d'un male, ça l'excite, ça la stimule. Si en plus c'est le père de son amie. Je commence à avoir vraiment peur, elle doit vouloir me tuer à feu lent, si doucement que mon c?ur lâchera et se venger de Daphné. Non, impossible, si Daphné est son amour elle sait que je suis là, alors pourquoi ? J'ai si mal, Maman pourquoi m'as- tu fais naître homme ? Pourquoi ne m'as-tu pas châtré à ma naissance ? Je hais ces boules qui pendent sous moi, qui sont si fragiles, si douloureuses. Un bruit de talons me rappelle à la réalité, Nadège s'approche, elle est nue, aux pieds, des plateformes. Je tremble de peur, mes muscles se tendent, ma verge pend lamentable, je pleure nerveusement. NON, je ne veux plus subir ce supplice. Nadège sourit, elle me torture et elle sourit ! J'ai peur, très peur. J'ai peur de cette femme que je domine d'une tête, à l'aspect si fragile. Je baisse les yeux, minable. Mon regard se fixe sur les plateformes, le talon est vertigineux, effilé, dangereux. Elle est devant moi, très près, son sexe à la hauteur de mon visage. Elle le colle contre moi, le frotte sur mon nez. Une odeur discrète s'en dégage, agréable. Ses mains ont saisi ma tête et l'appuie contre ce sexe de femme qui se balade sur mon nez. Elle accentue la pression, mon nez lui sert de gode, son petit bouton intime s'amuse de ma disponibilité. La douleur apparaît, de plus en plus vive. Je gémis, elle aussi. Elle de plaisir, moi de douleur. A-t-elle décidé de faire subir à chaque partie de mon corps des tourments ? Heureusement elle ne veut pas jouir, pas encore. Elle recule, plante l'un de ses talons dans ma cuisse droite, violement à plusieurs reprises. Je n'ai plus de volonté, je pleure, je gémis. Sa main retire le slip de ma bouche, il est trempé, je sanglote. Elle le jette au loin. - Pitié. Mademoiselle Nadège. je ferais se que vous voudrez. libérez-moi. Deux gifles s'abattent sur mon visage. - Tu feras ce que je veux ? Mais tu fais déjà ce que je veux ! Tu es mon esclave, tu souffres pour moi, par moi, pour mon plaisir. Ton avenir est tracé, à mes pieds ! Tu veux vivre à mes pieds, esclave ? Etre mon chien, mon ombre ? Je relève la tête, j'entrevois son visage radieux, vivre auprès d'une telle déesse ? Oui, bien sur ! Mais être son chien ! Je ne réponds pas. - Tu hésites encore ? Nadège se penche, s'accroupit, ses jambes s'écartent. Sa main s'empare de mon pénis. Elle le caresse, fait de lents va-et-vient, peu à peu il grossit. - Je veux que tu deviennes mon esclave, que tu me consacres ta vie. Je suis cruelle et je te ferai connaître des douleurs extrêmes. Tu me vénéreras, tu m'aimeras, je donnerai à ta queue du plaisir, beaucoup de plaisirs. Je veux juste une soumission totale de ta part. Sa voix est douce, chaude, oui c'est décidé, je veux lui appartenir. Je désire qu'elle me caresse encore, qu'elle me console dans ses bras. - Mademoiselle Nadège, j'accepte. - Tu acceptes quoi ? - Mademoiselle Nadège, j'accepte de devenir votre esclave, votre chien ! Aussitôt, sa main s'arrête, Nadège se redresse. Non, plus mes boules, plus cette douleur atroce. Mon sexe repose sur le sol, elle joue avec le bout de sa chaussure qui décalotte mon gland. Elle se retourne. - Je ne veux pas que tu ais accepté juste à cause de mes caresses ! Je la vois reculer doucement, le talon de sa chaussure droite se pose sur mon gland. Lentement il s'enfonce, la douleur est intenable, je n'arrive pas à crier, mon gland rougit. - Pitié. Pour toute réponse elle enfonce totalement son talon et commence à le remuer, comme si elle écrasait un mégot. Un cri sort de ma bouche, un hurlement bref. Je lui ai dit que je désirais être son esclave, pourquoi me puni-t-elle ? Je ne veux pas que tu ais accepté juste à cause de mes caresses, m'a-t-elle dit. Je dois lui renouveler ma soumission dans la douleur ! Un nouveau cri ponctue une nouvelle douleur. Je dois trouver les forces, lui parler. - Mademoiselle. Nadège. j'accepte de devenir. votre esclave. votre chien. Son talon se soulève, laissant une marque carré, profonde sur mon gland. Elle se retourne et se penche sur moi. Elle dépose un baiser sur ma joue, lèche mes larmes. - Parfait, dit-elle, je vais te détacher, mais je n'ai pas fini, pas encore, tes ?ufs doivent encore souffrir, une dernière fois. Nadège me détache, mes bras sont engourdis, je palpe enfin mes testicules. Elle retire la barre. - Si je te vois toucher ton sexe sans mon autorisation, je t'écrase les couilles ! Aussitôt je retire ma main. Elle m'ordonne de me mettre à quatre pattes et me saisi par les cheveux. Elle me guide, ainsi vers le salon. La lumière est tamisée. Je la suis vers la table basse et je me pétrifie. Une paire de sandales noires entre dans mon champ de vision. Une paire que je connais pour m'être déjà masturbé avec, une paire qui appartient à Daphné, à ma fille ! Nadège me tire violement en avant et place mon visage au dessus des sandales. Elle me lâche. Instinctivement je pose mes lèvres sur les pieds de ma fille, je dépose des baisers et lèche les lanières des sandales. Daphné pose une main sur ma tête, et la caresse. - Très bien, papa, très bien chien ! Continues, embrasses mes pieds. C'est délicieux de te voir ainsi, si compréhensif pour le plaisir de ta fille. Nadège s'assoie sur le bas de mon dos. Elle se penche et pose sa main sur mon sexe. - Il bande ! Magnifique, son dressage va être une partie de plaisir. Je frémis, ma queue est en érection, je m'humilie devant ma fille et je bande. A son tour Daphné se penche et palpe mon penis, mes testicules encore douloureuses. Je frissonne, je ne sais plus si c'est de douleur ou de plaisir. J'ai envie de jouir, si j'en suis encore capable, je n'ai jamais eu envie de jouir comme cela. Les deux femmes se lèvent elles le savent. Nadège me commande de m'allonger sur le dos, au milieu du salon. Elles me toisent, souriantes. Daphné a toujours sa robe, moulante, sexy, malgré ses talons elle est à peine plus grande que Nadège. Mon sexe est dressé. Elles écartent chacune l'une de mes jambes. - Esclave, cette fois, Daphné et moi allons t'écraser tes testicules. Sois courageux ! Fais honneur à ta Maîtresse. Je les regarde, elles sont magnifiques. Je n'ai pas le courage de supplier, il faut en finir au plus vite. Elles placent, chacune une chaussure sur un testicule. - Prête Daphné ? - Prête ! - Alors, un, deux, trois ! Que dire ? La douleur est si violente, si intense, je m'évanoui. Lorsque je me réveille, je sens une main parcourir ma poitrine. Je tourne ma tête, Nadège me sourit. Nous sommes dans ma chambre. - Ca y est, il est réveillé ! - J'arrive, crie Daphné Elle arrive dans la pièce, comme Nadège, elle a revêtu un pyjama de coton. Elle s'approche de mon entrejambes. - Comment ça va, papa ? Je veux me redresser mais je m'aperçois que mes mains sont attachées aux pieds de mon lit, ainsi que mes jambes qui sont écartées. Mon sexe est offert, Je gémis. - Je n'en peux plus, Mesdemoiselles, laissez-moi ! - Papa, nous ne te laisserons plus, ton sexe nous appartient, ton corps nous appartient, ton esprit nous appartient ! Nadège se redresse, ouvre les tiroirs de ma table de nuit. - En cherchant une paire de ciseau, Daphné a trouvé ceci. Elle brandit diverses revues porno qu'elle jette par terre et poursuit son exploration. - Oh une revue sur des dominatrices. Oh un livre de Marika Moreski ! Oh un plug ! Oh encore des revues sur des dominatrices ! Et une paire de bas, qui a été utilisé ! Expliques-toi esclave ! - Cela fait trois ans que Fabienne m'a quitté, je suis timide et je n'ai jamais rencontré une autre femme. - Dis plutôt que tu as peur de montrer ta petite queue, esclave, rigole Nadège. - Oui, Mademoiselle Nadège, alors je lis des revues et je me. - Tu te masturbes, papa ? -. - N'ai pas honte ! Mais avoues que ton sexe peut servir à autre chose. Il peut être l'instrument qui nous permettra de te punir. Nadège et moi, nous avons plein d'idées pour te soumettre, Nous avons lu tes revues et nous en avons même acheté d'autres ! - Dis moi, esclave, pourquoi ta femme t'a quitté ? - On ne s'entendait plus Daphné a frappe mes testicules, du plat de sa main. - Aaaah ! - Mauvaise réponse, papa. Nadège s'est assise à coté de moi, sa main parcours mes seins, descend sur mon ventre, joue avec les poils de mon pubis. - Esclave, nous avons déjeuné avec Fabienne la semaine dernière, elle nous a dit que tu étais un bon mari, mais qu'au lit tu étais incapable de la satisfaire. Elle te trompait et a préféré partir, profiter de la vie ! - Oui c'est vrai ! - Tu sais quel était le surnom que maman t'avait donné ? - Oui, le minable ! - Et bien monsieur le minable, tu vas dormir maintenant, tu dois être en forme car à ton réveil commence ta vie d'esclave. Les deux femmes se lèvent, elles sont belles, si belles. Elles éteignent la lumière et sortent. Mais Nadège reviens, rallume le lustre. Elle dépose un baiser sur mes lèvres. Elle se redresse et va au pied du lit, saisit mes couilles. - J'oubliais, Bonne nuit, esclave ! Sa main se referme, broie sans pitié mes noisettes, je m'évanoui. Nadège se dirige vers la porte souriante, jette un dernier regard vers son esclave. Elle est heureuse ! elricnec@aol.com