MEMOIRES DE LILLIPUTIEN Partie 2 par Hminus 1.1 1.2 Un nouveau monde, de nouvelles géantes La mort de Youri, causée par son écrasement « accidentel » sous le pied de Valérie, ne resta pas sans conséquences. Même si nous n'avions pas d'existence légale pour l'administration française, Monique, qui était la responsable du foyer, était obligée de prendre des dispositions pour qu'un tel accident ne puisse se reproduire. Nous fûmes ainsi victime d'une sorte d'isolement ; dans l'urgence, il avait été en effet décidé que plus aucune pensionnaire n'aurait accès à notre chambre. Cela fut une période de soulagement pour mon frère et mes s?urs, sauf pour Anna, qui loin d'être traumatisée par ce drame vécu, se plaignait ouvertement de ne plus servir de jouet vivant pour ses dames et demoiselles. Quant à moi, il ne me restait plus que les pieds de nos monitrices, qui fort heureusement n'avaient pas renoncé à piétiner et parfumer ma couche. Cette situation, cependant, ne dura qu'une petite semaine. Monique vint en effet nous annoncer qu'une responsable de la D.D.A.S.S viendrait nous prendre en charge, et le lendemain même une femme d'environ 35ans se présenta dans notre chambre. Accompagnée de Monique, la responsable nous découvrit avec un intérêt non dissimulé. Je croyais qu'ils étaient 5, demanda t-elle enfin après avoir longuement contemplé notre petit monde. Il y a celui-ci, fit Monique, en pointant son doigt vers ses pieds ; Monique s'était déchaussé comme d'habitude, mais pas la femme qui avait gardé ses escarpins marron. Notre monitrice chuchotait quelque chose à l'oreille de la responsable, tout en me regardant avec un sourire malicieux. Hum. fit enfin la femme, et bien il faudra aussi qu'il apprenne à apprécier d'autres odeurs ! La dessus elle se baissa, me prit dans sa main et me déposa au niveau intermédiaire de nos installations, là où se trouvaient mes s?urs et frère. Puis elle récupéra mon matelas avec les draps et l'oreiller et le porta à son visage pour le humer. Ah oui, je vois ! et elle partit d'un éclat de rire, accompagnée de Monique. Bon, ne perdons pas de temps, poursuivit-elle, il est déjà 5 heures, je les emmène comme prévu, voici un sac pour eux et un autre pour leurs affaires et leurs petits meubles ; Ah ! j'ai oublié de me présenter, s'adressant cette fois à nous, je m'appelle Christiane, et en attendant de trouver une meilleure solution, vous allez vivre quelques temps chez moi. Le transfert, fut plutôt long, nous étions tous les 5 entassés dans un sac de sport, heureusement, notre nouvelle tutrice ne l'avait pas complètement fermé, afin que nous ne suffoquions pas. Dans la voiture, elle avait déposé le sac sur le plancher devant le siège passager, si bien qu'il me fut possible d'en sortir sans difficulté et je passais presque tout le trajet à contempler la pédale gigantesque de l'accélérateur contrainte de s'enfoncer sous son immense escarpin. Comprenant que nous étions arrivés, je remontai bien vite dans notre sac, et quelques instants après nous nous retrouvions dans l'entrée d'un appartement ; Notre nouveau monde. Avec surprise nous y retrouvions Lara, cette jolie petite eurasienne avec ses taches de rousseur au visage, elle devait avoir 18ans à présent, et visiblement elle vivait ici. Christiane venait de nous déposer à terre, nous étions toujours dans notre sac, mais par l'ouverture, il m'était possible de contempler les deux géantes qui s'embrassaient, un peu de manière équivoque : en effet, notre nouvelle tutrice avait attiré Lara contre elle, et l'embrassait longuement sur la bouche. Comment vas-tu chérie ? lui demanda t-elle enfin. Lara oublia la question, n'ayant d'yeux que pour nous. Super ! je suis super contente de vous retrouver ! vous m'avez manqué, mais maintenant, vous allez être pour moi toute seule ! Lara exultait. Pour nous deux. rectifia Christiane. Mais Lara commençait déjà à nous retirer de notre sac, puis elle entreprit d'installer nos petits meubles dans sa chambre. Pendant ce temps nous étions restés dans l'entrée, Christiane se déchaussait, et bien entendu je n'étais pas loin, avide de faire connaissance de nouveaux pieds. Notre nouvelle tutrice était une belle femme, dans la force de l'age, elle avait d'agréable proportion, un visage aux traits fins et un regard bleu, dominateur et déterminé, ses cheveux coupés court était blonds. Pendant un instant malheureusement bien bref, il me fut possible d'admirer enfin ses pieds et de percevoir leur odeur tandis qu'elle se déchaussait et enfilait ses mules. Ses pieds étaient charnus, bien denses avec un puissant talon et des orteils épais, le bas qui les habillait exhalait une formidable et complexe odeur résultant d'une longue journée enfermés dans ses escarpins en cuir. Ses mules étaient en tissus épais, avec un motif écossais, les deux commençaient à s'éventrer à l'endroit des derniers orteils, si bien que, O bonheur, j'entrevoyais clairement la possibilité de humer ces puissants pieds à la dérobée. Mon incorrigible obsession allait une fois de plus me faire oublier les plus élémentaires règles de prudence, ainsi, sans que j'ai eu le temps de m'écarter, Christiane fit un pas sur le côté, et m'envoya littéralement voler à plusieurs dizaines de centimètres. Je me retrouvais assis, à moitié sonné, entre ses pieds, elle me regardait presque fâchée ; Il va falloir que je prenne l'habitude de tout le temps regarder où je mets les pieds maintenant ! Lara était là, elle s'approcha et me surplomba à son tour ; C'est Igor, celui qui passerait sa vie à nos pieds ! La-dessus, Lara quitta une de ses mules, et amena son pied nu vers moi, qu'elle positionna de façon à ma plaquer sur la moquette sous lui ; Ca sent bon ? me demanda t-elle en m'écrasant presque les épaules et la tête sous ses gros orteils imprégnés d'une méchante moiteur odorante. Passé l'effet de surprise, luttant contre le côté terrifiant de cette situation et l'énorme pression que le pied de cette belle eurasienne exerçait sur moi, je profitais de cette situation pour déposer pleins de petits baisers sous l'orteil qui écrasait mon visage ; Je suis en train de le forcer à sentir mon pied, et là tu vois, il me donne plein de baiser sous mon doigt de pied pour me remercier, il fait toujours ça ! Christiane s'était accroupie pour voir cela de plus prés ; Hum, fit-elle une fois que Lara m'eut libéré, c'est vrai qu'il est spécial celui là ! Oh, il y a aussi une de ses s?urs qui aime bien jouer avec nous, et Lara montra du doigt Anna qui était tout prés de là . Et les 3 autres ? demanda Christiane. Les autres ils n'apprécient pas ces jeux. Ca n'empêchera pas, rétorqua Christiane avec un sourire inquiétant, qu'il viendront quand même jouer avec nous, n'est-ce pas mes petits ? Ceci à peine dit, Christiane s'empara de Natacha, qui ne s'y attendait pas, puis de l'autre main, notre tutrice géante entreprit d'enlever sa culotte en satin mauve. Alors elle se remit en position accroupie pour mieux nous montrer ce qui allait suivre, et elle écarta les cuisses nous faisant découvrir son immense chatte habillée d'une fine toison dorée. C'est quoi ton nom ? demanda t-elle à ma s?ur prisonnière dans sa main et dont l'expression terrifiée ne faisait aucun doute. Elle, c'est Natacha, précisa Lara. Et bien Natacha, si nous jouions dés maintenant ? Ton frère aime bien les odeurs de pieds, toi tu aimerais peut-être sentir ma chatte, non ? Et alors, très lentement comme par sadisme, Christiane fit glisser ma s?ur le long de l'intérieur de sa cuisse. Elle ne la tenait que par le corps, sa tête, ses bras et jambes étaient restés libres de mouvements, si bien que nous l'entendions clairement hurler - Nooonnnnnn ! Laissez moi, je veux pas, je veux pas. Mais inexorablement, Christiane l'emmena vers son endroit intime et odorant. Les cris de ma s?ur se transformèrent en bruits étouffés, Christiane lui enfonçait déjà la tête d'un doigt entre ses grosses lèvres avides. Les gesticulations frénétiques mais inutiles de notre s?ur redoublèrent de force, tandis que notre tutrice la faisait pénétrer jusqu'aux épaules. Alors elle ferma les yeux et se mit à se masturber avec Natacha en poussant de longs soupirs de contentement ; - Huuuummmmm !!! Allez petite Natacha, lèches mon clito, vas-y mords le, huummmm !!! Et ce faisant Christiane accéléra sensiblement le rythme, et nous ne fûmes pas surpris de voir le corps de Natacha devenir humide. Son visage devait être écrasé contre un clito gigantesque, dur et suintant, trouver de l'air respirable dans ce cloaque devait être impossible. Ouiiiii, je sens ses petites dents, oohhhhh c'est bon Lara, et Christiane appuya de plus bel sur la tête de Natacha, se massant le clito avec, en lui imprimant de très rapides mouvements de petite amplitude. Elle re ferma les yeux, se mit à haleter, puis elle poussa un long soupir, et peu après laissa re tomber Natacha entre ses pieds. Ensuite elle se laissa tomber assise manquant d'écraser notre s?ur sous son sexe dégoulinant, et reprit peu à peu contenance. Natacha haletait aussi, visiblement elle était sonnée, plutôt traumatisée, elle recrachait comme elle pouvait la mouille de Christiane, puis elle se mit à pleurer. Christiane se remit accroupie au-dessus d'elle, la regarda amusée. Pourquoi pleures-tu petite Natacha ? on s'est bien amusées, non ? Qui vient m'essuyer à présent ? Toi ? Elle venait de s'emparer de Nikita Mon autre s?ur se retrouva à son tour prisonnière d'une main ferme, et n'eut pas d'autre choix que de se laisser emmener vers cet endroit terrifiant. Christiane l'introduisit sans ménagement entre ses lèvres suintantes, et s'essuya longuement, jusqu'à ce que notre s?ur se retrouve avec ses habits complètement englués et collants. Notre tutrice géante, ceci fait, fit glisser la tête de Nikita entre ses fesses. Envie de sentir l'autre trou ? Alors ça sent ? demanda t-elle à Nikita après lui avoir écrasé le visage contre son gros anus. Elle la fit revenir à hauteur de son visage. Alors je t'ai posé une question, ça sent, oui ou non ? Nikita ne sachant que dire, que faire, fit un léger signe affirmatif de la tête. Alors léches le jusqu'à ce que ça ne sente plus, Ok ? Et ma s?ur fut reconduite entre les fesses gigantesques. Je me déplaçais discrètement jusque sous Christiane et constata que celle- ci lui maintenait fermement le visage contre son cul. Je ne sens pas ta langue ! Tu veux que je t'introduise carrément dans mon cul, ou bien vas-tu te mettre à lécher petite désobéissante ? Alors Christiane relâcha un peu la pression, et je pus voir la petite langue de ma s?ur sortir à regret de sa bouche et lécher l'abominable orifice de notre géante. Huummm ! c'est nettement mieux, je sens que mon anus va t'adorer petite Nikita ! Alors elle se rassit sur une fesse, tout en maintenant l'autre écartée et ma s?ur dut restée coincée sous elle allongée sur la moquette à poursuivre cette humiliante besogne, pendant un temps qui dut lui sembler une éternité. Et cela ne faisait qu'une demi heure à peine que nous étions arrivés chez notre nouvelle tutrice ; Ca commençait vraiment fort ! 1.3 Des chaises très spéciales Trouvant que ce jeu humiliant avec Nikita avait assez duré, Christiane se releva, remit sa culotte de satin mauve et demanda à Lara de procéder à notre installation dans la chambre. Une plate-forme (une ancienne table basse de salon) équipée d'un petit escalier avait déjà été aménagée, nos petits meubles de poupée y furent installés. C'était la chambre de Lara, mais le soir venu, nous réalisions que c'était aussi la chambre de Christiane. Nos deux géantes s'alitèrent dans le même grand lit, et il ne nous fut pas difficile de comprendre qu'elles se livrèrent sans attendre à des jeux sexuels torrides. Anna fut très malheureuse de ne pas être invitée dans le grand lit, elle dut se résigner à se caresser en solitaire, ne pouvant se nourrir que des gémissements et petits cris de Christiane et Lara. Nos repas se prenaient par terre, de la nourriture conditionnée en rapport avec nos petites tailles était disposée sur un plateau, et pendant que nos maîtresses étaient attablées, nous prenions notre pitance à leurs pieds tels des esclaves. En fait le midi, Lara, qui bien souvent restait seule à la maison, nous faisait monter sur la table pour prendre le déjeuner, mais le soir le dîner se prenait aux pieds. Ces dispositions n'étaient pas pour me déranger, bien au contraire ; Je me dépêchais d'engloutir ma part, et la dernière bouchée avalée je me dirigeais vers les pieds de Christiane. Elle gardait toujours ses bas qu'elle avait porté toute la journée, et c'était un véritable bonheur pour moi de venir humer ses orteils qui dépassaient par la déchirure de ses vieilles mules. Je me dirigeais ensuite vers l'un de ses puissants talons et guettais le moment où elle allait dégager partiellement son pied de sa mule, où mon nez sensible serait submergé par une lame de fond d'effluves acides, de cette odeur indescriptible faite de transpiration, de moiteur, de nylon imprégné et de cuir. Parfois lorsque l'envie lui prenait de dégager complètement son puissant pied, alors le bonheur total me gagnait, je le regardais se placer contre l'autre jambe, et je n'avais plus qu'à humer et contempler à bout portant ses immenses orteils charnus. Dés le second jour, je me fis prendre, une fois de plus par mon imprudence ; En effet, c'était à l'occasion d'un dîner, j'étais en plein « snifage » des doigts de pied de Christiane, lorsque brutalement elle renfila sa mule. Le problème, c'est simplement que j'étais assis à l'endroit de la mule où repose son talon, tout occupé à humer comme un fou son pied qu'elle tenait en hauteur après s'être croisée les jambes. Le choc fut brutal, seulement pour moi évidemment ; je me retrouvais coincé et allongé sur le dos avec son talon colossal m'écrasant du haut des cuisses jusqu'au bas ventre. Sans me redonner ma liberté, Christiane regarda sous la table, et ne fut pas surprise de constater que c'est moi qui me retrouvait ainsi sous son pied. J'essayais plutôt vainement de me redresser, craignant le pire, les images de Youri disparaissant sous le pied de Valérie me revinrent instantanément à l'esprit. J'avais réussi à me relever en m'aidant des bras, sans pour autant avoir pu dégager mon bassin, mais je vis arriver au-dessus de ma tête l'autre pied de Christiane, et avec un plaisir évident, elle me terrassa, m'obligeant ainsi à demeurer plaqué et terrifié sans autre alternative que de prier pour ne pas mourir écrasé. Je voulais snifer son pied, je fus servi ; Je fus contraint de ne respirer qu'à travers les mailles imprégnées de moiteur suffocante, de ce bas qu'elle portait probablement depuis 3 ou 4 jours. Je finis par admettre que la pression presque insoutenable qu'elle m'infligeait valait la peine d'être subie, tant l'occasion d'une imprégnation forcée et spontanée était rare. Le dîner se terminait, et tandis que Christiane me contraignait toujours de me parfumer sous ses orteils, elle s'était emparée, avec l'aide de Lara, de Stan, tandis que cette dernière avait récupéré Anna. Et sans quitter leur chaise elle se mirent toute deux à jouer avec mon frère et ma s?ur. Sans que je puisse le voir, je compris que Christiane forçait probablement Stan à lui lécher le clito, et Lara faisait sans doute de même avec Anna. Ceci me fit craindre le pire, car Christiane relâcha son attention à mon égard, et je fus victime d'insoutenables variations de pression sous son talon au début. Puis pour écarter les cuisses elle le dégagea, me gardant seulement coincé par la poitrine et la tête sous les orteils de son autre pied. Seulement, par le plaisir et l'excitation elle les recroquevillait méchamment, et me tordait le cou, me faisant craindre le pire. Heureusement, peu à peu elle m'oubliait au détriment de Stan, et il me fut permis de me libérer à l'occasion d'un mouvement ascendant de son pied. Ouf ! je n'avais rien de cassé, je rejoignis mes 2 autres s?urs sous la table, ils regardaient avec inquiétude en haut Stan et Anna qui subissaient leur sort de jouets vivants. Notre existence fut ainsi réglée dés la première semaine, par des jeux plus soft la journée quand Lara était seule à la maison, mais dégénérant sérieusement vers le hard, dés que Christiane rentrait le soir. Aidée de Lara, le huitième jour après notre arrivée je crois, Christiane ramena deux chaises à l'aspect un peu bizarre, qu'elles installèrent en remplacement de celles qu'elles utilisaient pour prendre leur repas. Ces chaises avaient en effet la particularité d'avoir une assise très épaisse.dans laquelle deux d'entre nous auraient pu tenir assis, par exemple. J'avais vu juste, enfin presque, car c'est le dîner arrivé que cette nouveauté nous fut présentée, dans son intégralité. Il y avait aussi deux trous percés sur l'assise de chaque chaise, cette assise étant amovible pour permettre.notre installation à l'intérieur. En tout cela faisait 4 emplacements, nous étions 5, j'en déduisit qu'à chaque repas l'un de nous serait épargné par ce nouveau jeu que l'on devinait sans peine. Vu l'emplacement des trous, Christiane et Lara allait prendre leur repas tout en ayant l'un d'entre nous sous chacun de leur orifice odorant.quel programme ; Cela se voyait sans peine à leur mine déconfite, Stan, Nikita et Natacha regrettaient sérieusement le foyer, peut-être même cette époque lointaine du cirque, où nous étions trimbalés de ville en ville dans notre cage. Et voilà que je fus saisi par Christiane qui m'installa dans le trou avant de sa chaise, Natacha fut invitée à prendre place dans le trou arrière. Je crois que c'est Nikita qui fut épargnée pour cette inauguration des nouvelles chaises. Un petit banc miniature me rehaussait, faisant ainsi émerger ma tête et mes épaules, tandis que j'étais sanglé le long d'un dossier incliné. Le trou arrière n'avait pas de rehausseur, seulement un dossier incliné avec une sangle également, si bien que de Natacha, seule sa tête émergeait de l'assise qui allait bientôt accueillir le postérieure de notre maîtresse perverse. Alors mes petits chéris, que dites-vous de ce nouveau jeu ? pas mal hein ? Christiane arborait un sourire radieux, où se lisait l'impatience et surtout un certain vice diabolique. - Chacun ou chacune va gentiment lécher ce qu'il aura au-dessus du visage, d'accord ? nous ordonna t-elle. Toutes deux quittèrent leurs culottes, et je ne peux oublier ce regard terrifié de ma s?ur installée en face moi qui vit descendre sur elle cette énorme paire de fesse, puis qui voulu crier, mais sa petite tête blonde s'encastra de force entre les fesses de Christiane, son anus dont je percevais sans mal la moiteur puante, épousa le petit visage de Natacha, puis tandis que je me retrouvais à mon tour partiellement englouti entre les lèvres terrifiantes d'une chatte impatiente, je sentis ma s?ur s'affaisser sous la pression colossale du poids de Christiane qui venait de trouver sans doute sa position la plus confortable. Alors je me mis à ma besogne et découvris pour la première fois ce qu'avaient enduré mes s?urs, jadis au foyer avec Ghislaine ou Yasmina, ou plus récemment dans cette même chatte lorsque Christiane avait jouit sur Natacha. Le clitoris déjà humide n'attendait plus que ma petite langue, mais il ignorait à quel point j'avais du mal à respirer dans cette caverne vivante d'une moiteur pestilentielle, à quel point je craignais que les lèvres suintantes m'écrasent les épaules d'un moment à l'autre. Ce sexe affamé n'avait que faire de mon tourment, il ne cherchait que son plaisir, et il valait mieux que je le contente. Alors je me mis à lécher vigoureusement la chose, ne pouvant empêcher une partie de ce liquide visqueux et puant d'entrer dans ma bouche, mais je n'avais encore rien vu sans doute. La chose se mit à durcir et à sensiblement gonfler, à mon tour je fut contraint de céder de la place et me retrouvait tassé sur mon banc, puis il faut bien le dire, je ressentis moi-même une certaine excitation à participer à ma manière à ce jeu diabolique. Sur que je m'acquittais bien de ma tache, car la chatte carnivore de Christiane se mit à sérieusement devenir humide, elle commençait à mouiller méchamment sur moi, ça me dégoulinait sur la tête, le cou, et les épaules, sans parler de tout ce que je devais avaler, et tentait de recracher sans succès. Je mordais de plus bel ce clitoris géant qui m'écrasait le visage, je le léchais, le mordillais, sur toute sa surface, je faisais 100 fois mieux ce qu'un sexe masculin n'aurait jamais pu faire, j'opérai de l'intérieur ; Seulement j'étais beaucoup plus vulnérable qu'un sexe masculin, mes épaules allaient-elles supporter ce puissant et lent mouvement que Christiane faisait avec son bassin, mes mordillement ne lui suffisaient sans doute pas, elle allait carrément m'écraser la tête sous son clitoris. Toute la chaise émettait de sinistres craquements, tandis que les mouvements de tout son fessier se faisaient plus puissants, plus saccadés, l'énorme clito me défonçait le visage, forçant ma bouche, m'écrasant le nez ; C'était devenu terrifiant, Christiane pouvait me tuer, peu importe, tout ce qu'elle cherchait était l'orgasme. J'étais inondé, j'ingurgitais des quantités effrayantes de secrétions vaginale, je cherchais à me débattre, ne faisant en cela qu'augmenter son plaisir ; Je l'entendis à plusieurs reprise lâcher de petits pets, je pensais à ma pauvre s?ur, placée au plus mauvais endroit, puis alors que je crus ma dernière minute arriver, une pression colossale à me rompre le cou et la colonne vertébrale, un flot de liquide gluant jaillit sur moi et me noya ; Christiane poussa un long « Aaaaahhhhhhhhh » et ce fut enfin finit, je n'allais pas mourir cette fois-ci. Il se passa quelques secondes, où je restais hébété à tenter de reprendre mes esprits, puis Christiane se pencha sur le côté, me faisant par cette occasion partiellement sortir de son sexe. C'était bien devant, mais derrière je ne sens par grand chose, ne sais-tu pas lécher un cul ? fit-elle en en ayant manifestement après Natacha qui ne s'était pas bien acquittée de sa tache. J'ai quelque chose qui va peut-être te motiver ! ajouta t-elle. Il me fut possible de revoir la tête de ma s?ur car Christiane avait quelque peu levé une de ses fesses, seuls quelques gros poils cachaient partiellement le petit visage de Natacha ; Elle était plus terrifiée que jamais, ses cheveux étaient tout collés et en désordre, elle respirait difficilement par la bouche, son visage était sali ; Son regard bascula dans l'horreur lorsqu'elle vit bien mieux que moi l'effrayant anus se dilater, en effet notre maîtresse laissa un horrible pet dégoûtant se répandre sur ma s?ur, j'en fus moi-même asphyxié, le bruit fut horrible et assourdissant, et avant que l'orifice abominable ne se soit tout à fait refermé, Christiane se rassit tout à fait sur Natacha, achevant son pet sur ma pauvre petite s?ur qui venait de bien vite sortir sa petite langue. Hummmmm, Lara, elle me lèche pendant que je lui pète dessus, c'est trop bon ! Une vraie petite experte, il faudra que tu essaies aussi ! Oh oui, c'est vraiment génial, poursuivit Christiane, elle n'a pas pu se dégager, si bien que son adorable petit minois s'est encastré dans mon anus quand je lui ai pété dessus ; Et maintenant elle est forcée de me lécher l'intérieur..hummmm ! j'en frémis ! Et c'est seulement à ce moment là qu'elles commencèrent à dîner, si bien qu'il nous fallu rester dans ces humiliantes postures pendant une longue demi-heure. Natacha n'allait-elle pas mourir faute d'air, je le craignais, même si Christiane la soulageait en se repositionnant fréquemment. Quant à moi je dus rester ainsi à admirer de force cette immense chatte, toujours pris au piège, tel un petit animal, et mes mouvements incessants entre les lèvres terrifiantes de ce sexe béant, n'étaient sans doute pas pour déplaire à notre maîtresse. 1.4 1.5 1.6 La femme de ménage Les chaises percées furent donc notre quotidien, je ne tardais pas à cumuler, comme mon frère et mes s?urs de longues heures de léchage de chatte et de cul. En fait, Stan et moi ne pouvions pas pénétrer dans le sexe de Lara qui n'avait pas la taille de celui de Christiane, ainsi nous eûmes droit plus souvent qu'à notre tour à contenter des anus. Heureusement, il y avait ces fois où j'étais dans le rôle du 5ème, c'est à dire celui qui est exempté, qui a quartier libre, et j'employais évidemment cette opportunité pour assouvir mon obsession de pieds. Lara assurait les taches ménagères quotidiennes, cuisine, ménage, repassage. mais en complément, une fois par mois, venait une femme de ménage qui s'occupait de tout nettoyer de fonds en combles. Nous étions dans notre chambre, lorsque nous entendîmes une voix féminine inconnue au verbe haut, venant de l'entrée. Il ne sa passa pas une minute, puis la porte fut ouverte et une montagne humaine se présenta chez nous, accompagnée de Lara, bien petite derrière cette personne. La géante au vrai sens du terme se dirigea vers nos installations et nous surplomba tel l'Empire State Building ; - Voici Gisèle, fit Lara à notre intention, elle va faire le ménage ici cet après-midi. Gisèle était une femme de poids, on peu dire ; mais aussi massive. Sans doute pas loin de 1m80, sûrement plus 100kgs, mais malgré tout pas si moche. Elle avait une grosse tête ronde, mais avec un joli regard et des cheveux brun qui tombaient sur ses massives épaules. Elle ne devait pas avoir plus de 40ans, elle portait un t-shirt ample, une jupe ordinaire qui lui arrivait aux genoux, des socquettes transparentes en nylon et des vieilles tennis dont les renforts arrière demeuraient écrasés sous ses talons. Quand je repense à ces talons, immenses, terribles en fait, avec un peu de corne présent de chaque côté, et ses chevilles monumentales, j'en frémis encore. Je m'apprêtais à dévaler notre petite escalier, mais Lara me bloqua le passage. Tss Tss ! fit-elle, attention danger, si Gisèle te marche dessus ça va faire une grosse tache rouge sur la moquette, et c'est encore elle qui devra nettoyer ! Et la dessus la grosse femme rigola de bon c?ur, Lara lui souffla quelque chose à l'oreille, l'autre pouffa. S'il est gentil, il aura peut-être une gâterie tout à l'heure déclara t- elle de sa grosse voix. Bon j'ai du travail, ajouta t-elle, puis elle quitta notre chambre et se mit à la besogne. Une heure s'était passée, nous étions demeurés consignés dans nos quartier pendant les opérations de nettoyage, et la grosse femme refit irruption dans le chambre. Elle commençait à sérieusement transpirer, c'est qu'il faisait chaud dans l'appartement, et vu sa corpulence, Gisèle de toute façon dépensait sans doute beaucoup d'énergie. Bravant les interdits et les désapprobations de mon frère et mes s?urs je choisis de quand même me rendre au niveau 0, par terre donc. D'abord prudemment je restais sous notre table. Gisèle faisait les poussières sur les meubles, et je profitais qu'elle astique une commode située prés de notre installation pour me rapprocher de ses pieds. Oh la la ! Elle devait faire du 42 ou 43, et quelle largeur, ses tennis étaient prêtes à exploser pensais-je, effrayant, il fallait absolument qu'elle les enlève, priais-je de tout c?ur ; en attendant je percevais sans peine d'épaisses effluves d'intense transpiration par les talons monumentaux qui devaient peser des tonnes. Elle passa ensuite l'aspirateur, fit les carreaux, mais toujours sans avoir quitté ses tennis, alors je me résignais. Une autre heure passa, longuement, et Lara vint nous chercher, tous. En fait, elle nous prenait rarement dans ses bras, il fallait la suivre en marchant longuement par terre, quand nous nous rendions par exemple au séjour. C'est là que nous attendait Gisèle semblait-il, elle était affalée dans le canapé, récupérant de son effort prolongé, un verre à la main. Alors petite Lara, fit-elle, tu voulais me montrer à quoi servent ces chaises à trous ? Sur ces paroles les visages de Stan, Natacha et Nikita se figèrent de consternation. Même Anna parut comme inquiète, et je dois dire que moi aussi je n'avais pas envisagé que cette femme aurait le toupet de se servir du matériel de Christiane. En attendant je m'étais rapproché des pieds de Gisèle, et cherchait presque à attirer son attention, en me risquant même à toucher son talon, à caresser sa cheville. La grosse femme me regarda amusée ; C'est ça que tu veux ? Tu veux avoir une grosse sensation ? railla t-elle à mon égard. Alors elle quitta sa tennis, et j'eus la grosse sensation. Je cherche encore, 9 ans après, les mots pour décrire ce qui s'offrit à mon regard et mes narines. LE pied ! Voici ce qui suivit : 1/ Je découvre enfin son pied dans toute son immensité, à travers les mailles translucides des socquettes je vois notamment des doigts de pied d'une corpulence rare, avec des ongles terrifiants, sans vernis, grossièrement taillés ; Le gros orteil est à lui seul d'une taille qui me fait encore pâlir quand j'y repense. 2/ L'odeur, que dis-je la divine puanteur résultant d'une longue transpiration, non plutôt d'une macération dans ses immenses tennis, une odeur à mourir. 3/ Je n'ai encore vu que le dessus de ce pied fabuleux, à cet instant Gisèle me demande : Alors tu aimes ? Cela te suffit-il, ou bien es-tu prêt à recevoir ta petite gâterie ? Encore sous le choc, je mets du temps à réaliser qu'elle me propose sans doute quelque chose de très intense, mais aussi très risqué. 4/ Je m'agenouille respectueusement contre son « petit » orteil, tout cela est si beau, si impressionnant. Non non, me fait-elle, j'attends ta réponse, et elle m'écarte sans peine en me poussant du petit doigt de pied 5/ Bien, une décision vite.je lui fais un signe d'acquiescement, mon c?ur commence à s'affoler. Alors allonges-toi là, me dit-elle, la tête comme ça (Je me retrouvais donc allongé parallèlement à ses pieds, entre ses pieds, la tête à hauteur de ses orteils, et mes pieds vers ses talons) 6/ Avec une lenteur calculée, Gisèle amène son pied gauche au-dessus de moi, et le stabilise à environ 2 centimètres au-dessus de moi, et là, je crois que je vais défaillir. Je réalise que je suis moins grand que la longueur de son pied, je fais pourtant près de 25cm. En fait peu importe ce qu'il peut m'arriver, je suis prêt à mourir écrabouillé, pourvu que ce soit sous ce pied, pourvu que ce soit noyé dans cet océan d'effluves irrespirables. Mon cerveau, à cet instant, est en train de mémoriser des images qui resteront indélébiles, immuables. Les images des mailles de la socquette translucide, complètement saturées de transpiration et diverses crasses, le renfort au niveau des orteils est plus épais, mais laisse facilement voir encore, les doigts de pied monstrueux qui semblent impatients d'en finir avec la petite poupée sans défense que je suis. Mon cerveau ne mémorise pas, en fait il grave carrément, cette puanteur divine, et je me mets à regretter de n'être pas plus petit encore, m'imaginant passer des journées entières coincé sous ces prodigieux orteils, enfermé dans la socquette, puis dans la tennis, à m'imprégner totalement de cette moiteur si consistante. 7/ Ce qui devait arriver, arrive, Gisèle va peut-être m'écraser, simplement sous le poids de sa grosse jambe, mais qu'importe, j'ouvre les bras pour accueillir son pied qui descend, qui descend. Le contact se fait, ça y est mon nez touche la socquette, à ce moment chaque molécule que je respire n'est plus de l'air normal, c'est un mélange constitué d'une faible part d'oxygène et d'azote, la plus grande part étant à présent les sublimes émanations qui se déversent à flots sur moi. Mon champ visuel à considérablement diminué, je n'ai plus qu'en gros plan quelques mailles de l'abominable socquette, au travers de laquelle je devine le dessous du second orteil. Le pied continue de descendre, ma poitrine doit céder du terrain, pourvu que je puisse continuer à respirer encore un peu, je me mets à prier : s'il te plait Gisèle, laisses moi encore snifer sous ton pied avant de m'écraser. Ma tête s'encastre sous le second orteil, plus question à présent d'envisager le moindre mouvement, attendre et jouir jusqu'au dernier moment. Mais Gisèle était une gentille grosse bonne femme, et elle s'amusait seulement à me garder coincé sous son immense pied, pensant que je devais être en enfer.Comme elle se trompait ! Avec une grande maîtrise, Gisèle parvient en fait à conserver cette pression sur mon corps. C'est à la limite du soutenable, mais ça va, et surtout ça me laisse la possibilité de déguster quelques petites inspirations. 8/ Cet instant que j'aurais voulu éternel, prend fin, bien malheureusement, mais ce n'est pas fini. C'est Lara qui intervient : Il aurait presque la place de tenir dans ta socquette !lance t-elle en rigolant. Gisèle est sans doute amusée par l'idée, car elle enlève son pied, me prend dans ses larges mains et me pose sur l'assise du canapé. On va voir, dit-elle, on va voir ! La dessus elle amène son autre pied, le droit, sur le canapé et enlève sa socquette. Si c'était possible, mon c?ur s'accélère encore ; Je réalise ma chance extraordinaire.Je vais être confiné dans le saint des saints ; Si ça se trouve je suis déjà mort, et là je suis au paradis des pieds, tellement ce qui arrive est inespéré. Gisèle approche son pied titanesque de moi, à cet instant j'étais assis, son gros orteil passe à gauche de ma tête, le second doigt de pied à droite, mon visage bute au fond de l'interstice entre ces deux orteils. Elle relâche à présent l'effort qu'elle devait faire pour maintenir ses doigts de pied écarté, et ma tête se retrouve coincée dans un formidable étau. Un étau de moiteur délicieuse, mais néanmoins terrifiant, plus que jamais me voilà comme un petit animal sans défense et pris au piège. Et puis Gisèle renfile sa socquette, à fond, et écartant à nouveau ses doigts de pied, ma tête retourne sous le second orteil, tout mon corps est à présent fortement maintenu sous la plante du terrible pied par la socquette tendue. Je suis au paradis, sans attendre je frotte mon visage sous le second orteil, je le baise, je lèche son épaisse moiteur, je m'en imbibe et j'ai une terrible érection. Merci Gisèle, merci Lara, Oh merci encore. Je dus bien rester ainsi une dizaine de minutes, allant même jusqu'à déguster les minuscules particules de crasse présentes entre les deux premiers orteils, c'était délicieux. Mes vêtements, mais surtout la peau de mon visage étaient maintenant recouverts de ces petites boules, mon t-shirt était complètement imprégné de la transpiration suintante du gros doigt de pied de Gisèle et de son voisin, mon visage baignait dans cette sueur si acide, et mes cheveux étaient plaqués, collés. J'allais bientôt n'être plus qu'une simple excroissance du pied de Gisèle, sécrétant à mon tour cette délicieuse pestilence. Peu avant que la grosse femme ne me rende une liberté regrettée, j'entendis Lara approcher son visage du pied où je me trouvais, et elle fit un « poouuaahhhhh ! » et s'esclaffa en demandant à Gisèle comment je pouvais tenir la-dedans. Si on essayait ces chaises Lara ? demanda enfin Gisèle tout en me libérant. Ouais, tu vas voir c'est trop bon de sentir leur petite langue sous toi, répondit Lara. Huuummm ! j'ai hâte d'essayer ça Seule Gisèle enleva sa jupe. Je ne décris pas la mine épouvantée de Stan, Natacha et Nikita. Mais bon, il n'y avait que 2 trous, l'un d'eux serait épargné. Elle avait un cul absolument énorme, un ventre pas trop proéminent, une lourde poitrine, mais alors quel fessier ! Et 2 grosses cuisses, comme des piliers colossaux, indestructibles. La culotte en genre de dentèle blanche était en rapport, énorme, donc, et pas trop nette, avec d'épais poils noirs qui dépassaient de chaque côté et garnissait l'intérieur du haut de ses cuisses. C'était ahurissant, vraiment terrifiant. Gisèle s'était rassise sur le canapé, son pied nu prés de moi, elle enlevait à présent l'autre socquette. Elle allait se relever, mais son regard se porta sur moi, un sourire se dessina sur son gros visage ; Eh petit snifeur, t'as pas envie de sentir ma culotte par hasard ? tu auras la primeur avant tes frères et s?urs ! Et sans attendre ma réponse elle me saisit et m'entraîna dans son entre- jambe. Son odeur corporelle, notamment provenant de sa culotte était déjà très largement décelable dans toute la pièce, prés de son pied cette odeur m'était apparue à la limite du soutenable, alors comment décrire ce qui suivit ? Gisèle écarta ses grosses cuisses et me présenta la tête en bas à sa culotte. En plus elle se pencha en arrière pour me laisser voir et respirer la partie la plus sale, la plus puante. Les gros poils étaient collés par la transpiration, le tissu était jauni, saturé de sueur et sûrement d'urine, voire d'autres sécrétions. C'était horrible, et tellement énorme. A ce moment là je me mis à me débattre, je n'avais pas vraiment envie d'être approché d'avantage de cet enfer, mais Gisèle me fit glisser sous son entre-jambe et se re pencha en avant pour m'y enfermer. Je ne peux tenir que quelques secondes en apnée, la grosse femme resta au moins 2 minutes à me regarder désespérément battre des pieds. Presque instantanément je me suis retrouvé dans le noir, tassé dans l'assise du canapé et en proie à la plus terrible pestilence de ma vie. Il me fallut trouver de quoi respirer, ne pouvant plus me retenir, je dus prendre une longue inspiration, et je crus bien sentir toute la puanteur de la culotte se ruer dans mes poumons, saturant au passage l'intérieur de mon nez et muqueuses. Je pensais à la chaise percée. Quand Gisèle me libéra, j'étais à moitié dans les vappes, K.O. Elle s'était levée, et avait quitté sa culotte, Lara tenait Nikita dans sa main. On va d'abord jouer au trou arrière, décida Gisèle. Lara installa Nikita, et referma le siège. Ma s?ur hurlait, implorait. Lara avait gardé ses habits, elle m'avait prise et m'avait installé entre ses jambes sur le rebord de l'autre chaise percée, positionnée en face de celle qu'allait utiliser Gisèle. Et la géante se présenta au-dessus de la chaise, se retourna, fit un « hummm » en regardant une dernière fois la petite tête de ma s?ur qui hurlait toujours depuis son trou, puis prenant ses énormes fesses à pleine main pour bien les écarter, elle se laissa asseoir. Je peux dire que ce devait être insoutenable pour Nikita. De ma position, j'eus en effet un aperçu effrayant de ce monstrueux postérieur qui s'abattait sur Nikita ; je pus distinguer au-delà d'une épouvantable chatte aux grosses lèvres pendantes, garnie de quelques poils noirs à l'aspect douteux, l'anus énorme qui allait littéralement engloutir ma s?ur ; Il y avait une abominable couronne d'hémorroïdes irrégulière, que Gisèle faisait bouger pour mieux terrifier Nikita en contractant et relâchant son sphincter. Tout cela n'avait pas l'air de première propreté, pas plus que les gros poils qui couraient au delà de l'anus. Avec une infinie lenteur sadique, Gisèle laissait toujours descendre son cul sur la chaise. Jusqu'au dernier moment nous entendîmes tous hurler Nikita à l'aide, implorer que cela cesse, l'ukrainien reprenait le dessus dans ses supplications, mais on n'arrête pas une telle masse avec des implorations, si fortes soient-elles. Gisèle avait visé juste, ses hémorroïdes arrivèrent droit sur la tête de notre s?ur, dont les cris se retrouvèrent progressivement, puis complètement étouffés. La dernière chose que je pus voir d'elle, c'est son visage repoussé dans le trou, puis à la faveur d'un réajustement de position de la grosse Gisèle, s'encastrer au centre de son rectum. Enfin elle laissa tout son poids se répartir sur ses fesses, celle-ci s'étalèrent, dépassèrent même la largeur de la chaise, qui se mit à sérieusement craquer et gémir. Aaaahhhhh ! fit la grosse femme, quand elle eut trouvé sa position, je sens bien sa petite tête bouger, comme c'est amusant en effet ! Elle te lèche ? lui demanda Lara. Je sens pas sa langue, elle doit être si petite ! mais si je dilate bien mon cul, sa tête va rentrer dedans ! Et je vis Gisèle faire une sorte de grimace d'effort, puis un sourire de contentement. Ca y est ! elle est dedans.huuummmmm. si tu sentais ça, quand je dilate mon anus je sens sa petite tête bouger dans tous les sens, quand je le re contracte ça la bloque complètement. ! Puis elle fit une sorte «  Oh ! » en se tenant le ventre, délesta son poids d'une fesse en se penchant de côté, je revis en ce bref instant la tête de Nikita ; Son visage était comme en désordre, ses longs cheveux blonds collés par paquet, horriblement salis, elle respirait comme un noyé qui cherche de l'air désespérément. Elle n'eut pas la possibilité de se préparer à ce qui allait lui tomber dessus. Le gros anus se gonfla, les hémorroïdes s'enflèrent et s'écartèrent, et un horrible pet gras et humide se rua sur notre pauvre petite s?ur. Avec cette rafale pestilentielle, se répandirent avec une force inouïe mille fragments liquides voir solides de choses abominables, et avant que cela ne cesse, Gisèle se repositionna sur la tête de Nikita, ce qui eut pour effet de changer la sonorité de ce pet qui n'en finissait pas. Aaaahhh, ça va mieux, je me sentais gonflée ! Heureusement que la tête de ta petite s?ur est rentrée dans mon cul, sinon je crois que j'aurais fait sur la chaise à Christiane ! me dit Gisèle en me regardant, très contente d'elle. Ce passa alors quelques instants où elle sembla apprécier à nouveau la présence de Nikita sous elle, puis nous la vîmes faire de mouvements avec son cul d'avant en arrière, comme pour faire coulisser la tête de notre s?ur à l'intérieur de son rectum. Je ne la sens plus bouger là.fit-elle enfin. A regret elle se leva, cela fit un horrible bruit de sussions lorsque la tête de Nikita fut expulsée du cul de la grosse femme, sa tête fut comme tirée vers le haut lorsque Gisèle se leva, à cause de ses cheveux qui étaient retenus dans le rectum. Puis sa tête retomba inerte. Lara fit basculer l'assise de la chaise percée, détacha ma s?ur et l'amena prés de moi. Nikita était inanimée. A cet instant Christiane rentrant du travail fit irruption et ne cacha pas sa surprise de voir Gisèle les fesses à l'air. Que se passe t-il ici ? fit notre maîtresse voyant le regard embarrassé de Lara et de la grosse femme Je choisis de reporter mon attention sur Nikita, qui avait besoin d'assistance. Son visage était méconnaissable tant il était recouvert de fragments plus ou moins gros de matières nauséabondes, à regret je dus m'approcher tout contre elle pour chercher son souffle, mais n'en sentis aucun. Oh là là, il fallait faire vite, il me fallut au prix d'un effort surhumain placer ma bouche contre la sienne et tenter de lui faire la respiration artificielle ; je soufflais, appuyait sur sa poitrine, soufflais dans sa bouche à nouveau, cela dura bien trop longtemps. Lara me prit dans ses mains, - c'est finit dit-elle, de toute façon elle a le cou cassé. Entre temps Gisèle s'était rhabillée et avait disparu, Christiane très contrariée ne put que constater la mort de Nikita ; Elle la saisit dans sa main, la porta à son visage, huma celui de ma s?ur, plutôt longuement. Huummm, dommage quand même que j'ai loupé ça ! fit-elle ;Bon, et bien comme ça cela fait 4 petites personnes pour 4 trous maintenant, et elle fit évacuer le corps de Nikita par Lara. Une fois de plus notre impuissance due à notre petite taille se révélait dramatiquement, il n'y aurait toujours rien d'autre à faire que de subir et prier, et puis très égoïstement je savais en mon fort intérieur que je continuerais de jouir d'agréables moments en rapport avec mes obsessions. A suivre. hminus75@hotmail.com