Laura et Marc - Cabine d'essayage - Part I Par Enil, enil@freesurf.fr Laura donne une leçon à deux voyeurs malotrus Le magasin de sous-vêtements féminin à Marseille appartenait au fils d'un riche industriel. Sa première passion, c'est de voir un maximum de jolies filles nues. Son idée était, grâce à l'argent de Papa, d'être propriétaire d'un grand magasin spécialisé en dessous sexy pour attirer une clientèle jeune et féminine. Pour se rincer l'oeil, il perça un trou dans la cabine d'essayage numéro 9 où il pouvait mater les plus belles filles sans êtres vue. L'ex cabine numéro 10 était devenu une pièce réservée au personnel dont le rideau était remplacé par une porte en bois. La responsable de magasin, une très belle blonde âgé d'une trentaine d'année avait pour instruction de faire venir les plus jolies clientes qui désiraient essayer un des articles dans la cabine 9. Ce petit manège fonctionnait déjà depuis plusieurs années et en particuliers en été. Mais vint un jour où une femme peu ordinaire entra dans ce magasin peu orthodoxe accompagné de son petit ami (un homme plus ordinaire). La fille était une jeune grande brune au corps svelte. De ses hauts talons, elle était aussi grande que son homme. Habillé très sexy par une mini jupe à la fois très serrée et très courte, le patron rêvait de la voir nue. - Marie, Il faut absolument qu'elle essaye un de nos articles même si elle n'est venu que pour regarder, chuchota t-il tout en fixant des yeux les longues jambes élancés de la nouvelle cliente ainsi que sa poitrine généreuse cachée à moitié par son décolleté. - Bien Jean-Michel répondait la responsable résignait. Pour la plus grande joie du voyeur, le couple était venu pour trouver un ou plusieurs ensembles féminins très sexy. - Comment trouves tu ces dentelles, Marc ? - Très jolie et encore plus quand tu le porteras ma chérie. - Puis-je vous aider ? Intervins une vendeuse. - Nous avons déjà fait notre choix, peut-on l'essayer. - Bien sur Madame, je... - Là Laura, cette cabine vient de se libérer, coupa Marc à la vendeuse en désignant la cabine une du doigt. - Euh ! Non, cette cliente à d'autres essayages, mais le numéro 9 est libre. - Très bien Le couple alla de concert vers la cabine quand la vendeuse appela l'homme. - Excusez-moi Monsieur, les cabines ne sont réservées qu'aux femmes. Voyant la grande déception de Marc, Laura le rassura. - Ne t'inquiète pas, dès que j'aurais enfilé un ensemble, je tirerais le rideau pour que tu puisses me voir avec. Reste près de la cabine. - Oui chérie je serais toujours près de toi - Ca je peux te faire confiance mon amour répondait elle en lui envoyant un baiser par la main avant de passer derrière le rideau. Le patron était déjà dans sa cachette depuis longtemps et la voyant entrer avec ces 3 ensembles, son attente serait largement récompensée ou largement punie... Jean-Michel était aujourd'hui avec son meilleurs ami Paul qui venait occasionnellement dans le Sud et qui partageait la même passion : voyeurisme. En attendant sa victime, il lui faisait bouillir d'impatience. - Tu verrais Paul le morceau, j'ai rarement vue une fille de cette taille aussi bien foutue. Elle doit faire une tête de plus que toi. Paul était complexé par sa taille de 1m70 - Oui surtout avec ses hauts talons. Crois-tu qu'elle va mordre à l'hameçon. - T'inquiètes, j'ai parfaitement confiance à Marie et à son équipe de vendeuses. Tiens la voila, chut, plus un bruit ! Ne se doutant de rien, Laura commença à se déshabiller sous les regards ébahis des deux cochons qui scrutaient le trou à tour de rôle. Elle défit son soutien-gorge. Jean-Paul admirait ses superbes seins â travers le miroir. Sentant son sexe se durcir, il tira sur sa braguette. « Wouah des sacrés pare-chocs, » pensa t-il. Quand vint le tour de Paul, il avait le meilleur vu sur sa croupe, pendant qu'elle baissa sa petite culotte. Il sortit son phallus à son tour. « Wouah comme je voudrais la bourrer. » Quand elle était complètement nue, toujours dos à la pièce secrète, elle se disait. « C'est bizarre, j'ai eu l'impression d'entendre des bruits de braguette à deux reprises. Je suis observé je le sens. » La belle brune se retourna et son impression se confirma en entendant des bruits très sourds de déplacement. « Hum ! J'aurais du me méfier de cette cabine condamnée à côté. Je suis sûr qu'ils sont au moins deux dedans. Ils doivent m'observer derrière cette fente. » Faisant mine de n'avoir rien remarqué, le top modèle compressa ses seins sous les regards excités de chacun de ces voyeurs. Elle faisait mine d'admirer ses formes en se regardant dans le miroir. Elle enfila ensuite le premier ensemble du lot très lentement et de manière très sensuelle tout en réfléchissant sur la manière de les surprendre. « Ces cabines sont en bois pas très épais, avec la force de mes cuisses et mes connaissances en karaté, ça doit être un jeu d'enfant de défoncer ce mur. » L'amazone prenait une grande respiration tandis que les naïfs se masturbaient tout en la regardant. Avec une force incroyable pour une femme, Laura défonça le mur par un coup de pied puissant. Le cri d'attaque et le bruit de bois craqué s’entendirent dans tout le magasin. Jean-Michel qui était accolé au mur fut assommé du premier coup. Paul la regardait rentrer en tremblant de peur. Le petit homme était paralysé devant cette grande et redoutable brune qui devait faire pratiquement le même poids que lui. La belle lui infligea une gifle magistrale qui le faisait tomber au sol. De chaque main elle pris les cheveux de chaque homme et les souleva. Cette puissante femme les traînait dehors tout en faisant sauter la porte d'un autre coup de pied. Tous le personnel du magasin et les quelques clients se figèrent devant la scène peu commune. « Aille aille ça faisais longtemps que Laura ne s'était défouler sur des hommes, » constata Marc qui connaissait bien sa charmante petite amie. - Qui c'est ces deux mauviettes qui se branlent en regardant des femmes se déshabiller, gronda Laura. Après un petit temps de silence pour se remettre de son émotion, Marie répondit avec presque un sourire d'amusement. - Oh, c'est juste mon employeur et son ami. - Vous ne voyez pas d'inconvénient à ce que je leur donne une correction. - Non, après tout, c'est ce que je ferais à votre place. Laura plaça chaque tête entre son bras et son sein. Ces nichons comprimèrent donnant un effet érotique, tandis que les deux malheureux tentèrent désespéramment de se dégager de cette emprise qui commencèrent à les étouffer. Les 3 clientes qui étaient encore dans le magasin et dont certaines étaient passées dans cette maudite cabine, furent choquées. L'une d'elle lui cria - Allez y Mademoiselle, faites leur regretter La jeune brune, maîtrisant toujours les deux hommes sous le bras se tournèrent vers son mari avec un large sourire. - Marc, comment trouve tu mon nouveau ensemble ? - Terrible ma chérie ! « Dans les deux sens du terme » pensait Marc qui commençait à avoir une protubérance â son pantalon. Laura l'avait remarqué et le connaissant, elle savait que ça allait l'exciter. D'ailleurs elle aussi prenait du plaisir car des mains désespérées tripotèrent ses mamelles espérant mieux respirer. - Regarde moi ces mauviettes, soi disant sexe fort se débattre devant une faible femme. « Bon pas si faible que ça mais quand même à 2 contre 1, c'est vraiment pathétique. » Les forces de ces deux prisonniers étant affaiblis qu'ils étaient littéralement à la merci d'un représentant du sexe faible. L'un d'eux frappa son cul très ferme, ce qui la faisait rire : - Tiens ces petits hommes qui me donne la fessé, comme c'est mignon. Marc était plus qu'excité devant sa copine qui était en train de foutre une raclée monumentale à deux hommes à la fois. « Vas y, mon amour, je suis impressionné et tellement fier de toi ». Marc avait une meilleure carrure que ces pauvres types mais malgré sa force, lui non plus ne pouvait rivaliser avec les techniques martiales de sa petite amie. Il est pourtant resté avec elle parce qu'il savait qu'elle ne lui ferait jamais réellement mal. Elle le battait parfois uniquement dans des jeux érotiques plus dans un but de le maîtriser et de le dominer que de lui provoquer des fortes douleurs. Le fait de se rappeler un de ses moments où sa copine lui faisait une démonstration de son infériorité lui mettait son membre en érection maximum. Gênait par son pantalon, il mit sa main dessus pour aider sa bite à se relever vers son bas ventre. Il rougit de honte quand la belle responsable aperçu son petit manège. La situation était trop comique. Marie ne pouvait s'empêcher de rire derrière sa main pendant qu'elle observait Marc embarrassé. Sa moquerie s'arrêta nette. Deux gros malabars apparurent dans le magasin.