krsopt 1ère partie Un riche industriel, passionné de catfight, décide d’assouvir son fantasme « organiser un combat entre deux femmes mûres, dans sa villa de Saint Tropez ». Il sera le maître du « jeu » en donnant des consignes aux protagonistes qui lutteront nues. A la clé, deux primes : l’une de 1000 € à celle qui aura produit les actions les plus bandantes et 2000 € à celle qui gagnera le combat. Après avoir prospecté sur le Net, l’homme a reçu chez lui, une dizaine de femmes. Son choix s’est porté sur Fanny et Alexandra âgées respectivement de 50 et 47 ans. Chaque femelle sait maintenant à quoi s’en tenir, connaît les modalités de la rencontre et les objectifs à atteindre. Autant motivées par la destruction d’une rivale que par l’appât du gain, les deux prétendantes promettent à l’organisateur qu’il ne sera pas déçu ! Rendez-vous est donc pris pour le samedi suivant à 17 heures. ... Arrive enfin le moment tant espéré par notre PDG que j’appellerai Johan. Le combat se déroulera au sous-sol de la villa dont le parterre a été recouvert de tapis pour la circonstance et les murs protégés de la même façon sur 1,50 m de hauteur. Tout le monde laisse ses affaires aux vestiaires, y compris le maître des lieux ! Fanny, une brune aux cheveux mi-longs, mesure 1,72 m pour 85 kg. Elle possède deux grosses mamelles lourdes et légèrement tombantes. Les aréoles sont larges et brunes sans pointes apparentes. Sa toison pubienne est largement fournie ! Ses rondeurs et sa carrure accentuent son côté sexy. Alexandra possède de longs cheveux blonds qui lui tombent jusque sur les reins. Elle mesure 1,69 m pour 75 kg. Ses seins sont de taille honorable. En forme de poire, ils se dressent fièrement sur son buste potelé. Deux tétins proéminents s’érigent au centre d’aréoles réduites à leur plus simple expression. Sa vulve est fraîchement épilée. Plus petite que son adversaire, elle n’en est pas moins gironde et excitante... Johan relie les chevilles gauches des deux nanas par une cordelette d’environ 50 cm en leur rappelant qu’au cours des trois premiers rounds, seul le mot « pitié » sera un signal de soumission. Pour les deux derniers rounds la soumission sera évidente et il leur sera inutile de prononcer ce mot ! Premier round ! Annonce-t-il ... Attaque aux seins et rien d’autre !!! Les deux femelles prennent place au centre de la pièce et attendent le signal. Chacune d’elle joue l’indifférente et semble ignorer son adversaire. Fight ! s’écrie le mâle qui bande déjà à l’idée du spectacle qui va s’offrir à ses yeux. Quelques secondes s’écoulent pendant lesquelles les deux femmes se fixent enfin droit dans les yeux. Soudain, à la vitesse de l’éclair, Fanny fait un moulinet à l’aide de ses deux bras et abat la paume de ses mains sur les nichons d’Alexandra qui accuse le coup avec surprise et douleur. Salope ! s’écrie-t-elle, tu vas me le payer ! Piquée au vif, elle sent monter en elle une fureur insoupçonnée. Elle contre-attaque en bombardant à coups de poings, les grosses mamelles de Fanny qui essaie de reculer en vain... Aucune échappatoire à cause de l’espèce de laisse qui la retient à la chienne qui lui fait bleuir les seins. Alexandra frappe comme si elle voulait exploser les deux punching-balls qui lui font face; sentir les glandes rivales qui s’écrasent sous ses poings l’excite à l’extrême, elle en devient hystérique ! Fanny ayant encaissé une rafale de coups a l’impression que ses nibards sont en bouillie, qu’ils ont implosé ! Elle doit réagir très vite si elle veut conserver ses gros lolos. Les nénés d’Alexandra étant en érection, Fanny projette ses mains sur les fruits bandés. De ses doigts, elle crochète les pointes avec cruauté, les griffe, les tire et les tortille en tous sens. Alexandra hurle comme une chienne écorchée vive. Si elle pouvait voir ses pauvres tétins ... ils ont pris au moins 5 cm ! Fanny ne lâchant pas les fraises de sa rivale, se projette à genoux et entraîne la malheureuse Alexandra qui ne peut faire autrement que de suivre le mouvement pour éviter l’arrachage ou l’élongation irréversible ! Pour réduire la douleur qui lui taraude les bouts, Alexandra approche son torse au plus près de sa tortionnaire... Telle une chienne affamée, elle jette sa bouche sur le sein gauche de Fanny et croque à pleines dents cette chair « fraîche » et moelleuse. La douleur intense et brutale oblige Fanny à desserrer l’étreinte de ses doigts sur les pointes meurtries d’Alexandra. Elle s’empare de la tête de la cannibale et cherche à lui mettre les doigts dans les yeux. Pas de ça ! Hurle Johan. Attaque aux seins et rien d’autre !!! Au risque de se faire déchirer, Fanny s’accroupit et projette, de toutes ses forces, son genou droit dans le sein gauche d’Alexandra. Le coup est efficace puisque Alexandra, le souffle coupé, laisse échapper sa proie. Fabienne en profite pour faire subir le même sort à l’autre nibard. Alexandra reste à genoux, repliée sur elle-même, tenant ses boîtes à lait malmenées à pleines mains. Fanny s’est redressée totalement et contemple fièrement la souffrance de sa rivale. Lui balançant un bon coup de pied sous la mamelle gauche, elle lui demande de se rendre. Alexandra ne donnant aucune réponse, Fanny se débrouille pour la mettre sur le dos et entreprend de lui écraser un sein avec le plat de son pied ! Non satisfaite du résultat escompté, celle-ci enfonce davantage son pied dans la mamelle qui se comprime de façon grotesque et entreprend de la faire rouler d’un va et vient rapide pour mieux la déformer ! La vision est stupéfiante ! On se demande ou peuvent bien passer les glandes compressées par le pied dévastateur. Après une minute d’un tel traitement, Alexandra, gémissante et implorante crie « pitié ! ». Fanny retire son pied de la mamelle qui a du mal à reprendre forme, elle crache sur le visage de la vaincue qui gît au sol et lève un bras en signe de victoire. Fabienne gagne ainsi le premier round. Les seins tuméfiés, toujours enchaînées l’une à l’autre, les deux « lutteuses » ont droit à cinq minutes de pose. Johan leur apporte des rafraîchissements et des serviettes mouillées. Bandant comme un phoque, ils laissent les deux furies se reposer, s’abreuver et soigner leurs nichons avant de s’en aller branler dans le vestiaire.